L'Ukraine envisage d'acheter le système de missiles de frappe navale NSM à la Pologne, renforçant ainsi sa capacité de frappe à longue distance. Les négociations en cours soulignent l'importance de la coopération militaire régionale dans la région de l'Europe de l'Est. L'Ukraine négocie l'achat de missiles de frappe navale avec la Pologne.
Selon le média polonais Defence 24, l'Ukraine serait en pourparlers avec la Pologne pour l'acquisition du système de missiles de frappe navale (NSM) construit par l'entreprise norvégienne Kongsberg Defence & Aerospace (KDA). Varsovie exploite déjà deux systèmes NSM au sein de son Escadron de missiles côtiers. Chaque système est composé de deux batteries comprenant trois véhicules de lancement de missiles qui possèdent chacun une capacité d'emport de quatre missiles. La portée étendue des missiles NSM, dépassant les 185 kilomètres (100 milles marins), pourrait fournir à l'Ukraine une capacité de frappe à longue distance supplémentaire, en complément du missile air-sol Storm Shadow.
Le missile terrestre de 400 kilogrammes (882 livres) est plus léger que d'autres missiles anti-navires, et sa conception aérodynamique ainsi que son rapport poussée-poids élevé lui confèrent une grande manœuvrabilité. Le missile de Kongsberg Defence utilise des matériaux composites qui lui confèrent une meilleure furtivité et dispose de la capacité de voler au ras de l'eau ce qui lui permet de limiter ses chances d'être détecté par les systèmes de détections ennemis.
Le missile utilise une navigation inertielle, GPS. Il est également doté d'un système d'imagerie infrarouge pour le guidage terminal, le protégeant ainsi des tentatives de brouillage. Par ailleurs, le système de recherche du missile est équipé d'une reconnaissance de cible autonome, favorisant grandement la détection, la reconnaissance et l'atteinte de la cible appropriée, que ce soit en mer ou sur terre. Si l'Ukraine réussissait à acquérir le système NSM, elle pourrait considérablement renforcer sa capacité de frappe navale, et offrir à ses armées un moyen supplémentaire de dissuasion et de défense contre les menaces maritimes.
Si l'Ukraine parvient à conclure l'accord avec la Pologne, cela lui permettrait de bénéficier des connaissances et de l'expertise polonaises dans l'utilisation et la maintenance du système NSM, renforçant ainsi les capacités militaires des forces ukrainiennes.
L'Ukraine cherche clairement à accroître sa capacité de frappe à longue distance pour dissuader les menaces potentielles et renforcer sa posture défensive. L'acquisition du système NSM serait un pas important dans cette direction, permettant à l'Ukraine de se doter d'un système de missiles de frappe navale avancé et efficace. Les négociations en cours entre l'Ukraine et la Pologne soulignent l'importance croissante de la coopération militaire et de la sécurité régionale dans la région de l'Europe de l'Est.
L'Ukraine envisage d'acheter le système de missiles de frappe navale NSM à la Pologne, renforçant ainsi sa capacité de frappe à longue distance. Les négociations en cours soulignent l'importance de la coopération militaire régionale dans la région de l'Europe de l'Est. L'Ukraine négocie l'achat de missiles de frappe navale avec la Pologne.
Selon le média polonais Defence 24, l'Ukraine serait en pourparlers avec la Pologne pour l'acquisition du système de missiles de frappe navale (NSM) construit par l'entreprise norvégienne Kongsberg Defence & Aerospace (KDA). Varsovie exploite déjà deux systèmes NSM au sein de son Escadron de missiles côtiers. Chaque système est composé de deux batteries comprenant trois véhicules de lancement de missiles qui possèdent chacun une capacité d'emport de quatre missiles. La portée étendue des missiles NSM, dépassant les 185 kilomètres (100 milles marins), pourrait fournir à l'Ukraine une capacité de frappe à longue distance supplémentaire, en complément du missile air-sol Storm Shadow.
Le missile terrestre de 400 kilogrammes (882 livres) est plus léger que d'autres missiles anti-navires, et sa conception aérodynamique ainsi que son rapport poussée-poids élevé lui confèrent une grande manœuvrabilité. Le missile de Kongsberg Defence utilise des matériaux composites qui lui confèrent une meilleure furtivité et dispose de la capacité de voler au ras de l'eau ce qui lui permet de limiter ses chances d'être détecté par les systèmes de détections ennemis.
Le missile utilise une navigation inertielle, GPS. Il est également doté d'un système d'imagerie infrarouge pour le guidage terminal, le protégeant ainsi des tentatives de brouillage. Par ailleurs, le système de recherche du missile est équipé d'une reconnaissance de cible autonome, favorisant grandement la détection, la reconnaissance et l'atteinte de la cible appropriée, que ce soit en mer ou sur terre. Si l'Ukraine réussissait à acquérir le système NSM, elle pourrait considérablement renforcer sa capacité de frappe navale, et offrir à ses armées un moyen supplémentaire de dissuasion et de défense contre les menaces maritimes.
Si l'Ukraine parvient à conclure l'accord avec la Pologne, cela lui permettrait de bénéficier des connaissances et de l'expertise polonaises dans l'utilisation et la maintenance du système NSM, renforçant ainsi les capacités militaires des forces ukrainiennes.
L'Ukraine cherche clairement à accroître sa capacité de frappe à longue distance pour dissuader les menaces potentielles et renforcer sa posture défensive. L'acquisition du système NSM serait un pas important dans cette direction, permettant à l'Ukraine de se doter d'un système de missiles de frappe navale avancé et efficace. Les négociations en cours entre l'Ukraine et la Pologne soulignent l'importance croissante de la coopération militaire et de la sécurité régionale dans la région de l'Europe de l'Est.
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