Deux avions de transport, l'un français et l'autre canadien, sont entrés en contact au sol alors qu'ils se trouvaient sur la base aérienne américaine d'Andersen, sur l'île de Guam. Les dégâts sont avant tout matériels, au niveau de l'arrière des dérives des avions. L'incident semble léger et n'a fait aucun blessé. Les appareils sont déployés sur Guam afin de participer à l'exercice Mobility Guardian 23.
Le 21 juillet dernier à 10h30, un avion de transport CC-150 Polaris de l'Aviation royale canadienne (ARC) et un avion de transport tactique A400M Atlas de l'Armée de l'Air et de l'Espace sont "entrés en contact". L'incident s'est produit au sol, sur la base aérienne d'Andersen (Guam, États-Unis, îles Mariannes). Il n'est pour l'instant pas possible de donner plus de détails sur l'incident en question. Une enquête commune, incluant des personnels américains, canadiens et français, est en cours afin de déterminer les causes de cet incident.
Alors que certains laissaient penser à un véritable crash, les annonces officielles démontrent clairement à incident et non pas à une véritable collision ;
Il s'agirait donc d'un problème au niveau des engins servant à pousser ou tirer les avions lorsque ces derniers sont au sol avec leurs moteurs coupés.
Le communiqué de presse français précise que les dégâts sont situés au niveau de la gouverne de profondeur des deux avions de transport. Cependant, avec un A400M équipé d'une gouverne de profondeur haute et un CC-150 équipé d'une gouverne de profondeur basse, les dégâts devraient être situés au niveau de la gouverne de profondeur d'un des deux avions et sur la gouverne de direction et/ou sur la dérive de l'autre appareil (images d'exemple ci-dessous).
Quoiqu'il en soit, les militaires français et canadiens sont en train d'analyser les dégâts afin d'organiser au mieux les réparations des deux avions de transport.
Les deux appareils étaient présents sur l'île de Guam car la France et le Canada participent à l'exercice Exercise Mobility Guardian 23 (MG23). Ce dernier regroupe près de 70 avions et plus de 15.000 militaires localisés sur une zone d'exercice d'environ 3.000 miles (4.828 kilomètres) et provenant de sept pays différents :
En plus de tester à nouveau l'interopérabilité entre ces pays, les militaires s'exercent également au transport, ravitaillement en vol, évacuations médicales, commandement et contrôle, assistance humanitaire en cas de catastrophe,...
Il faut noter que l'Atlas français est déployé dans le Pacifique dans le cadre de la mission de projection à longue distance Pégase 23. Cette dernière comprend le déploiement depuis l'Hexagone et ce, vers le Pacifique de :
Deux avions de transport, l'un français et l'autre canadien, sont entrés en contact au sol alors qu'ils se trouvaient sur la base aérienne américaine d'Andersen, sur l'île de Guam. Les dégâts sont avant tout matériels, au niveau de l'arrière des dérives des avions. L'incident semble léger et n'a fait aucun blessé. Les appareils sont déployés sur Guam afin de participer à l'exercice Mobility Guardian 23.
Le 21 juillet dernier à 10h30, un avion de transport CC-150 Polaris de l'Aviation royale canadienne (ARC) et un avion de transport tactique A400M Atlas de l'Armée de l'Air et de l'Espace sont "entrés en contact". L'incident s'est produit au sol, sur la base aérienne d'Andersen (Guam, États-Unis, îles Mariannes). Il n'est pour l'instant pas possible de donner plus de détails sur l'incident en question. Une enquête commune, incluant des personnels américains, canadiens et français, est en cours afin de déterminer les causes de cet incident.
Alors que certains laissaient penser à un véritable crash, les annonces officielles démontrent clairement à incident et non pas à une véritable collision ;
Il s'agirait donc d'un problème au niveau des engins servant à pousser ou tirer les avions lorsque ces derniers sont au sol avec leurs moteurs coupés.
Le communiqué de presse français précise que les dégâts sont situés au niveau de la gouverne de profondeur des deux avions de transport. Cependant, avec un A400M équipé d'une gouverne de profondeur haute et un CC-150 équipé d'une gouverne de profondeur basse, les dégâts devraient être situés au niveau de la gouverne de profondeur d'un des deux avions et sur la gouverne de direction et/ou sur la dérive de l'autre appareil (images d'exemple ci-dessous).
Quoiqu'il en soit, les militaires français et canadiens sont en train d'analyser les dégâts afin d'organiser au mieux les réparations des deux avions de transport.
Les deux appareils étaient présents sur l'île de Guam car la France et le Canada participent à l'exercice Exercise Mobility Guardian 23 (MG23). Ce dernier regroupe près de 70 avions et plus de 15.000 militaires localisés sur une zone d'exercice d'environ 3.000 miles (4.828 kilomètres) et provenant de sept pays différents :
En plus de tester à nouveau l'interopérabilité entre ces pays, les militaires s'exercent également au transport, ravitaillement en vol, évacuations médicales, commandement et contrôle, assistance humanitaire en cas de catastrophe,...
Il faut noter que l'Atlas français est déployé dans le Pacifique dans le cadre de la mission de projection à longue distance Pégase 23. Cette dernière comprend le déploiement depuis l'Hexagone et ce, vers le Pacifique de :
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