A l’occasion de l’ouverture le 11 septembre de la World Satellite Business Week organisée par le cabinet parisien Euroconsult, Air & Cosmos publie une tribune d’Olivier Lemaitre, secrétaire général d’Eurospace, sur la question du « juste retour ».
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 5 septembre, le premier étage d’un lanceur complet d’Ariane 6 a (brièvement) été mis à feu, pour la première fois au Centre spatial guyanais.
Huit ans après un séjour de neuf jours à bord de l’ISS, l’ingénieur danois entame une mission de longue durée. Pour l’occasion, il était le premier pilote étranger du vaisseau Crew Dragon de SpaceX, qui embarquait l’équipage Crew 7.
L’Agence spatiale européenne a choisi l’industriel franco-italien pour mener l’étude de faisabilité Solaris, dans la perspective de fournir, depuis l’espace, de l’énergie propre à grande échelle.
Le contrat, signé avec l’Agence spatiale européenne, a été annoncé le 20 juillet. Il atteint un montant de 300 M€.
L’Agence spatiale européenne a officialisé le 29 juin que le satellite d’observation de l’atmosphère terrestre EarthCare serait placé sur orbite début 2024 par un lanceur Falcon 9.
Remy Decourt s’est interrogé sur l’ambition contrariée du directeur général de l’ESA en matière de vols spatiaux habités. Il a échangé avec plusieurs experts, qui réfléchissent à des scénarios crédibles qui permettraient une autonomie européenne dans ce domaine.
En attendant la très hypothétique décision de lancer son propre programme de vols habités, l’ESA poursuit ses engagements dans le programme lunaire de la Nasa, dont elle est le principal partenaire.
Jusqu’au vol inaugural du futur lanceur lourd européen, des communiqués seront publiés à l’issue de chaque réunion d’avancement rassemblant les principales parties prenantes du programme.