Ils sont désormais treize à travers le monde à s’être engagés à ne pas (ou plus) procéder à des essais antisatellites destructeurs dans l'espace (ASAT).
Alors que les États membres de la Première Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies vont entamer des discussions sur la réduction des menaces spatiales, la Vice-Présidente des États-Unis Kamala Harris a annoncé une interdiction « auto-imposée » des tests de missile anti-satellite à ascension directe.
La Russie, après la Chine et les Etats-Unis, a détruit le 15 novembre un satellite placé il y a 39 ans sur orbite basse. Les réactions d’indignation sont nombreuses.
En l'espace de quelques jours le FSB aurait neutralisé deux réseaux d’espionnage ciblant les travaux de la BITD russe dans les domaines de la défense anti-aérienne et de la propulsion hypersonique
Si le successeur du S-400 tient ses promesses, il pourrait surclasser les systèmes antibalistiques américains comme le Patriot PAC-3 ou le THAAD grâce à ses performances contre les missiles hypersoniques.
Les nouvelles capacités de surveillance et de ciblage des observatoires low-cost deviennent un enjeu de pouvoir pour les "Space Force"
Les nouveaux moyens ASAT russes et chinois obligent les américains à repenser la protection de leurs satellites militaires de communication, clef de voûte de leur supériorité opérationnelle.
Le Pentagone entend bien conserver son avantage dans la recherche spatiale et cette fusée pourrait bien révolutionner la guerre spatiale
L’agence spatiale allemande à fait appel à la société américaine pour équiper son C2 de surveillance spatiale