L’ISAE-SUPAERO et Liebherr-Aerospace Toulouse ont renforcé leur collaboration le 1er janvier 2024 dans le cadre d’une chaire industrielle. Co-financée par l’Agence Nationale de la Recherche, cette chaire vise à développer et améliorer les méthodes et les outils de conception aérodynamique des roues de turbomachines, participant à la recherche sur l’avion décarboné.
La Fondation Jean-Jacques et Félicia Lopez-Loreta a récompensé un projet issu de l’ISAE-SUPAERO : VIRAJ H2. La dotation va permettre à Joseph Risson, élève-ingénieur, de valider la technologie de son innovation en matière de propulsion décarbonée.
Anticipant non seulement le retour de l'homme sur la Lune mais aussi sa présence sur le long terme, les chercheurs de l'ISAE-SUPAERO mènent des travaux sur l'organisation des systèmes de vie lunaire, l'optimisation des ressources disponibles in-situ et la pollution générée par ces missions.
La sonde de la Nasa lancée hier vers un astéroïde constitue une première étape dans la constitution de systèmes qui permettront de dévier la trajectoire d’objets célestes menaçant notre planète.
Le département Mécanique des structures et matériaux de l'Isae-SupAero travaille avec Airbus sur des matériaux composites de 4e génération répondant aux contraintes mécaniques et thermiques de l'avion à hydrogène.
L’Isae-Supaero et H3 Dynamics développent un drone zéro émission, ayant pour but de traverser l’Atlantique. Dans un premier temps, un démonstrateur de 4 mètres d’envergure sera fabriqué et testé en vol afin de valider l’ensemble des briques technologiques.
L'Isae-Supaero et MBDA renouvellent pour trois ans leur convention de partenariat sur un programme de bourses favorisant la formation de 12 jeunes indiens et indonésiens au mastère de sciences en ingénierie aérospatiale.
L'ISAE-SUPAERO ouvre une formation d'ingénieur par apprentissage à la rentrée 2020. Soutenu par le GIFAS, le cursus veut former des ingénieurs capables d'assurer une interface entre bureaux d'études et chaînes de production.
Le cubesat EntrySat de l’Isae-Supaero a été largué le 3 juillet depuis la Station spatiale internationale. Il doit permettre l’étude du retour dans l’atmosphère des débris orbitaux
