Pendant deux mois, le tout nouveau porte-avion américain va s'entrainer avec son escadre à de nombreuses missions. L'une des plus importantes comprend l'interopérabilité avec les marines de pays membres de l'OTAN. Dans cette optique et durant une semaine, l'USS Gerald R. Ford va s'entrainer auprès de bâtiments étrangers aux opérations navales complexes en formant une escadre multinationale.
Du 8 au 14 novembre, la Marine américaine (US Navy) va chercher à confirmer l'interopérabilité de son tout nouveau porte-avions USS Gerald R. Ford (CVN-78, classe Gerald R. Ford). L'exercice, qui a lieu dans l'Est de l'Atlantique, comprend de nombreux scénarios de guerre navale et cherche tout particulièrement à tester les différents systèmes du porte-avions dans ce genre de scénarios mais avec une escadre internationale. Au total, ce sont sept pays qui participent à cet exercice : Allemagne, Canada, Danemark, Espagne, États-Unis, France, Pays-Bas.
En termes de navires impliqués, ce sont près de 11 bâtiments de surface qui participent à Silent Wolverine, en plus du porte-avions (photo ci-dessous) :
Les images disponibles du pont du porte-avions permettent de confirmer la présence au sein du groupe aérien embarqué de plusieurs types d'appareils :
Le 4 octobre, le porte-avion américain USS Gerald R. Ford a quitté son port d'attache de Norfolk (Virginie, États-Unis) pour son tout premier déploiement. Celui-ci est assez bref puisqu'il ne devrait naviguer que 2 mois dans l'Atlantique. Durant cette période, les marins s'entraineront tout particulièrement sur plusieurs types de missions :
La classe Gerald R. Ford représente une montée en puissance pour les opérations aéronavales américaines. C'est un véritable condensé de nouvelles technologies, avec notamment les tout nouveaux systèmes de catapultage EMALS et de brins d'arrêt AAG. Air&Cosmos avait d'ailleurs eu l'occasion d'interviewer Scott Forney, le PDG de General Atomics Electromagnetic Systems, durant le salon international Euronaval. Ces deux systèmes équiperont également le futur porte-avions de la Marine nationale (plus d'infos dans ce podcast).
Avec les tensions entre la Russie et les différents États membres de l'OTAN, l'US Navy avait augmenté ses forces en Europe. Dès lors, il y a actuellement deux porte-avions, dont la capacité de projection de puissance est importante. La classe Gerald R. Ford à la capacité d'emporter plus de 90 appareils au sein de son groupe aérien embarqué. Il ne faut toutefois pas oublier les navires chargés de son escorte, permettant de protéger le porte-avions contre toutes les menaces mais aussi en soutenant ses opérations offensives. Pour ce déploiement, son son escadre comprend :
Pendant deux mois, le tout nouveau porte-avion américain va s'entrainer avec son escadre à de nombreuses missions. L'une des plus importantes comprend l'interopérabilité avec les marines de pays membres de l'OTAN. Dans cette optique et durant une semaine, l'USS Gerald R. Ford va s'entrainer auprès de bâtiments étrangers aux opérations navales complexes en formant une escadre multinationale.
Du 8 au 14 novembre, la Marine américaine (US Navy) va chercher à confirmer l'interopérabilité de son tout nouveau porte-avions USS Gerald R. Ford (CVN-78, classe Gerald R. Ford). L'exercice, qui a lieu dans l'Est de l'Atlantique, comprend de nombreux scénarios de guerre navale et cherche tout particulièrement à tester les différents systèmes du porte-avions dans ce genre de scénarios mais avec une escadre internationale. Au total, ce sont sept pays qui participent à cet exercice : Allemagne, Canada, Danemark, Espagne, États-Unis, France, Pays-Bas.
En termes de navires impliqués, ce sont près de 11 bâtiments de surface qui participent à Silent Wolverine, en plus du porte-avions (photo ci-dessous) :
Les images disponibles du pont du porte-avions permettent de confirmer la présence au sein du groupe aérien embarqué de plusieurs types d'appareils :
Le 4 octobre, le porte-avion américain USS Gerald R. Ford a quitté son port d'attache de Norfolk (Virginie, États-Unis) pour son tout premier déploiement. Celui-ci est assez bref puisqu'il ne devrait naviguer que 2 mois dans l'Atlantique. Durant cette période, les marins s'entraineront tout particulièrement sur plusieurs types de missions :
La classe Gerald R. Ford représente une montée en puissance pour les opérations aéronavales américaines. C'est un véritable condensé de nouvelles technologies, avec notamment les tout nouveaux systèmes de catapultage EMALS et de brins d'arrêt AAG. Air&Cosmos avait d'ailleurs eu l'occasion d'interviewer Scott Forney, le PDG de General Atomics Electromagnetic Systems, durant le salon international Euronaval. Ces deux systèmes équiperont également le futur porte-avions de la Marine nationale (plus d'infos dans ce podcast).
Avec les tensions entre la Russie et les différents États membres de l'OTAN, l'US Navy avait augmenté ses forces en Europe. Dès lors, il y a actuellement deux porte-avions, dont la capacité de projection de puissance est importante. La classe Gerald R. Ford à la capacité d'emporter plus de 90 appareils au sein de son groupe aérien embarqué. Il ne faut toutefois pas oublier les navires chargés de son escorte, permettant de protéger le porte-avions contre toutes les menaces mais aussi en soutenant ses opérations offensives. Pour ce déploiement, son son escadre comprend :
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