Le décollage a eu lieu ce lundi 1er décembre depuis le Centre spatial guyanais (CSG). A bord, se trouvait le satellite le satellite d’observation de la Terre KOMPSAT-7 de l’agence spatiale de la Corée du Sud, la KARI.
Le décollage du vol VV28 a eu lieu à 18h21 heure de Paris. Le vol a été nominal, un de plus qui nous éloigne de l'échec à l'origine de la perte des deux satellites Pleiades Neo d’Airbus Defence & Space en décembre 2022. C’est aussi le troisième – et dernier – vol de Vega-C en 2025, une faible cadence qui devrait à peine augmenter. Lors de la conférence ministérielle de l’Agence spatiale européenne la semaine dernière, le directeur général de l’ESA a annoncé que Vega-C devrait voler 16 fois dans les 4 prochaines années. En 2026, Vega-C doit livrer le télescope spatial sino-européen SMILE d’étude du vent solaire, ou encore le satellite d’observation de la Terre Sentinel-3C du programme européen Copernicus.
La gamme KOMPSAT de satellites d’observation de la Terre garantit à la Corée du Sud un accès souverain à l’imagerie satellite depuis 25 ans. KOMPSAT 7 constitue la quatrième génération de satellites optique, avec une résolution spatiale de 30 cm en panchromatique. La gamme est complétée par l’observation radar-SAR à l’aide de KOMPSAT 6, qui doit être mis en orbite en 2026 par Vega-C. Ces satellites pilotés par la KARI sont à usage gouvernemental. L’arrivée de KOMPSAT-7 est opportune au vu des tensions qui grandissent dans la région entre la Chine et le Japon ces dernières semaines.
Le décollage a eu lieu ce lundi 1er décembre depuis le Centre spatial guyanais (CSG). A bord, se trouvait le satellite le satellite d’observation de la Terre KOMPSAT-7 de l’agence spatiale de la Corée du Sud, la KARI.
Le décollage du vol VV28 a eu lieu à 18h21 heure de Paris. Le vol a été nominal, un de plus qui nous éloigne de l'échec à l'origine de la perte des deux satellites Pleiades Neo d’Airbus Defence & Space en décembre 2022. C’est aussi le troisième – et dernier – vol de Vega-C en 2025, une faible cadence qui devrait à peine augmenter. Lors de la conférence ministérielle de l’Agence spatiale européenne la semaine dernière, le directeur général de l’ESA a annoncé que Vega-C devrait voler 16 fois dans les 4 prochaines années. En 2026, Vega-C doit livrer le télescope spatial sino-européen SMILE d’étude du vent solaire, ou encore le satellite d’observation de la Terre Sentinel-3C du programme européen Copernicus.
La gamme KOMPSAT de satellites d’observation de la Terre garantit à la Corée du Sud un accès souverain à l’imagerie satellite depuis 25 ans. KOMPSAT 7 constitue la quatrième génération de satellites optique, avec une résolution spatiale de 30 cm en panchromatique. La gamme est complétée par l’observation radar-SAR à l’aide de KOMPSAT 6, qui doit être mis en orbite en 2026 par Vega-C. Ces satellites pilotés par la KARI sont à usage gouvernemental. L’arrivée de KOMPSAT-7 est opportune au vu des tensions qui grandissent dans la région entre la Chine et le Japon ces dernières semaines.
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