L’événement organisé par l’IFHE et le CNES se tiendra les 11 et 12 février au CNAM à Paris.
La fin de l’année 2024 a vu le départ inopiné de trois figures du secteur spatial tricolore. Les successeurs, parfois provisoires, ont rapidement été désignés.
Le 19 décembre 1974, un lanceur américain place sur orbite Symphonie A, premier satellite européen dédié aux télécommunications construit par la France et l’Allemagne.
Le 5 décembre a été placé sur orbite basse le satellite Sentinel 1C du programme Copernicus d’observation de la Terre. Sentinel 1C dispose d’un radar aussi performant que celui de ses prédécesseurs, mais aussi une charge utile pour la surveillance des navires.
Le Centre spatial guyanais continue de s’ouvrir à de nouveaux opérateurs de micro et mini lanceurs européens. L’an prochain, il va permettre à Opus Aerospace de mettre en œuvre sa fusée Mésange.
L’Agence spatiale européenne a signé avec Hemeria un contrat d'une valeur de 9,8 M€ pour la conception, la construction et l'exploitation de Swing, la première mission de nanosatellite de météorologie spatiale de l’ESA.
Pour la première fois depuis quarante ans, le Centre spatial guyanais a été le théâtre d’un lâcher de ballon stratosphérique, qui a permis de tester un nouveau type de véhicule manœuvrant.
Résultats « très prometteurs » de la dernière campagne de tests menée en Allemagne par la startup francilienne.