L’agence spatiale européenne a signé un accord avec l’entreprise lituanienne Astrolight pour construire la première station de communication optique au sol au Groënland. Ce type de communication est mieux protégé des interférences radio et des tentatives de piratage.
Cœur de tensions entre les Etats-Unis et le Danemark, le Groënland est aussi une zone peu connectée. Pourtant son économie progresse avec le recul du froid face aux conditions climatiques. Le Groënland est aussi un territoire menacé par une éventuelle guerre arctique, et a donc besoin de plus de capacité d’interopérabilité. Avec le concours de l’ESA, et sous la maîtrise d’œuvre de la start-up Astrolight, fondée en 2019 en Lituanie, le territoire danois se lance dans la communication optique, plus rapide et surtout à plus haut débit que les radiofréquences. C’est aussi une voie de communication plus sécurisée, à l’heure où les gouvernements et les états membres de l’OTAN songent à s’en servir pour mieux prévenir les interférences et les tentatives de piratage.
La station sera construite d’ici fin 2026. Astrolight l’imagine comme un futur nœud crucial entre les communications optiques inter-satellite (à l’instar de Starlink), et des communications au sol et en mer. La pêche est la principale source de revenu, mais depuis plusieurs années, on cultive le rêve de développer une économie de la bigdata au Groënland. La météo permet un rafraîchissement naturel des infrastructures. Des premiers datacenters ont été installés.
A l’état de prototype il y a encore peu, la communication optique sol-espace est devenu un marché toujours plus prisé. En France, la start-up Cailabs qui industrialise cette technologie a d’ailleurs réussi une des plus grandes levées de fonds du New Space français, avec 57 M€ levés en septembre.
L’agence spatiale européenne a signé un accord avec l’entreprise lituanienne Astrolight pour construire la première station de communication optique au sol au Groënland. Ce type de communication est mieux protégé des interférences radio et des tentatives de piratage.
Cœur de tensions entre les Etats-Unis et le Danemark, le Groënland est aussi une zone peu connectée. Pourtant son économie progresse avec le recul du froid face aux conditions climatiques. Le Groënland est aussi un territoire menacé par une éventuelle guerre arctique, et a donc besoin de plus de capacité d’interopérabilité. Avec le concours de l’ESA, et sous la maîtrise d’œuvre de la start-up Astrolight, fondée en 2019 en Lituanie, le territoire danois se lance dans la communication optique, plus rapide et surtout à plus haut débit que les radiofréquences. C’est aussi une voie de communication plus sécurisée, à l’heure où les gouvernements et les états membres de l’OTAN songent à s’en servir pour mieux prévenir les interférences et les tentatives de piratage.
La station sera construite d’ici fin 2026. Astrolight l’imagine comme un futur nœud crucial entre les communications optiques inter-satellite (à l’instar de Starlink), et des communications au sol et en mer. La pêche est la principale source de revenu, mais depuis plusieurs années, on cultive le rêve de développer une économie de la bigdata au Groënland. La météo permet un rafraîchissement naturel des infrastructures. Des premiers datacenters ont été installés.
A l’état de prototype il y a encore peu, la communication optique sol-espace est devenu un marché toujours plus prisé. En France, la start-up Cailabs qui industrialise cette technologie a d’ailleurs réussi une des plus grandes levées de fonds du New Space français, avec 57 M€ levés en septembre.
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