Le constructeur a annoncé avoir réussi le test en vol d’un avion d’affaire dronisé, EyePulse, grâce à un système de pilotage autonome fourni par Thales. Un pas en avant sous les yeux de la DGA.
L’annonce a eu lieu le mardi 2 décembre. Quelques jours plus tôt, le 27 novembre, EyePulse a décollé de l’aéroport de Tarbes, en présence d’une délégation de la DGA et de son directeur-adjoint. L’aéronef est un appareil TBM construit par Daher, mais auquel on a ajouté un système avionique ScaleFlyt fourni par Thales. Tout au long du vol, pour respecter les consignes de la DGAC, un pilote était à bord, prêt à reprendre les commandes. C’est d’ailleurs lui qui a piloté lors du décollage, phase du vol non demandée par la DGA. Le reste du vol et l’atterrissage se sont déroulés de manière autonome.
La DGA applaudit la rapidité de Daher à mettre au point un prototype de drone MALE (moyenne altitude longue endurance) à partir d’un avion déjà existant, à savoir moins de six mois. Ancien appareil TBM, le drone repose donc sur des technologies reconnues et certifiées. L’intégration de l’avionique ScaleFlyt a été sous la maîtrise du technocentre Fly’in de Daher à Tarbes. EyePulse fait partie des cinq solutions retenues par la DGA pour développer des drones MALE. Le drone est capable d’emporter 500 kg de charge utile et de voler pendant 12 à 24 heures d’affilée à 9000 m d’altitude. Ses capacités intéressent l’Armée de l’Air et de l’Espace dans sa recherche de solutions souveraines, ne disposant pour l’instant que des drones MQ9-Reaper provenant des Etats-Unis.
Le constructeur a annoncé avoir réussi le test en vol d’un avion d’affaire dronisé, EyePulse, grâce à un système de pilotage autonome fourni par Thales. Un pas en avant sous les yeux de la DGA.
L’annonce a eu lieu le mardi 2 décembre. Quelques jours plus tôt, le 27 novembre, EyePulse a décollé de l’aéroport de Tarbes, en présence d’une délégation de la DGA et de son directeur-adjoint. L’aéronef est un appareil TBM construit par Daher, mais auquel on a ajouté un système avionique ScaleFlyt fourni par Thales. Tout au long du vol, pour respecter les consignes de la DGAC, un pilote était à bord, prêt à reprendre les commandes. C’est d’ailleurs lui qui a piloté lors du décollage, phase du vol non demandée par la DGA. Le reste du vol et l’atterrissage se sont déroulés de manière autonome.
La DGA applaudit la rapidité de Daher à mettre au point un prototype de drone MALE (moyenne altitude longue endurance) à partir d’un avion déjà existant, à savoir moins de six mois. Ancien appareil TBM, le drone repose donc sur des technologies reconnues et certifiées. L’intégration de l’avionique ScaleFlyt a été sous la maîtrise du technocentre Fly’in de Daher à Tarbes. EyePulse fait partie des cinq solutions retenues par la DGA pour développer des drones MALE. Le drone est capable d’emporter 500 kg de charge utile et de voler pendant 12 à 24 heures d’affilée à 9000 m d’altitude. Ses capacités intéressent l’Armée de l’Air et de l’Espace dans sa recherche de solutions souveraines, ne disposant pour l’instant que des drones MQ9-Reaper provenant des Etats-Unis.
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