Le nom et le logo de la prochaine mission d’un astronaute européen à bord de la Station spatiale internationale ont été dévoilés le 18 août.
Encore loin de se démocratiser, le tourisme spatial – suborbital, orbital et peut-être prochainement translunaire – connait un nouvel essor depuis un an. Certains s’enthousiasment, d’autres condamnent son empreinte écologique.
A une semaine d’intervalle, les Emirats Arabes Unis ont annoncé trois nouvelles décisions, qui renforcent leur position d’acteur incontournable dans le paysage spatial mondial.
En sept mois à peine cette année, l’opérateur californien a mené autant de missions orbitales que sur l’ensemble de l’année dernière. Et les lancements continuent…
Avant de disposer complètement de sa constellation de première génération dédiée à l’internet global, l’opérateur indo-britannique OneWeb retient une startup pour déployer une partie des satellites de la génération suivante.
Une grappe de 46 satellites dédiés à l’internet global a été déployée le 11 juillet par un Falcon 9. Destination : une orbite SSO haute de 550 km.
L’opérateur californien a lancé le 29 juin le satellite géostationnaire de télécommunications SES 22, construit par Thales Alenia Space pour le compte de l’opérateur luxembourgeois SES.
En l’espace de trente-six heures, trois lanceurs Falcon 9 ont été mis en œuvre depuis trois sites de lancements différents, pour trois missions vers des orbites basses (dont une pour le renseignement allemand).
Un Falcon 9 de SpaceX, lancé dans la nuit du 8 au 9 juin, embarquait un satellite géostationnaire de télécommunications (fabriqué par Thales Alenia Space), pour la première fois depuis décembre 2021.