L'US Air Force a récemment fait une démonstration d'une avancée majeure dans le domaine de la collaboration homme-machine, en faisant voler des plateformes collaboratives autonomes aux côtés d'avions de chasse pilotés lors d'un exercice d'entraînement depuis la base aérienne d'Eglin, en Floride. Les pilotes aux commandes d'un F-16C Fighting Falcon et d'un F-15E Strike Eagle ont chacun contrôlé deux drones XQ-58A Valkyrie dans le cadre d'un scénario d'entraînement au combat aérien.
L'US Air Force a récemment fait une démonstration d'une avancée majeure dans le domaine de la collaboration homme-machine, en faisant voler des plateformes collaboratives autonomes aux côtés d'avions de chasse pilotés lors d'un exercice d'entraînement depuis la base aérienne d'Eglin, en Floride. Les pilotes aux commandes d'un F-16C Fighting Falcon et d'un F-15E Strike Eagle ont chacun contrôlé deux drones XQ-58A Valkyrie dans le cadre d'un scénario d'entraînement au combat aérien, démontrant ainsi l'intégration en temps réel entre les systèmes pilotés et semi-autonomes. L'utilisation réussie d'avions de combat de quatrième génération pour contrôler les avions sans pilote constitue une avancée certaine dans le cadre du concept d'aéronef de combat collaboratif. Jusqu'alors et à l'exception notable de la France, ce dernier s'est largement concentré sur l'association des plateformes autonomes avec des appareils de cinquième voire de sixième génération tels que le F-35 voire le futur F-47.
Ce vol récent a marqué une étape décisive dans l'intégration des plateformes collaboratives autonomes (ACP) au sein du combat aérien, réduisant la charge de travail des pilotes tout en améliorant la conscience situationnelle, soit la perception de l'environnement proche et l'efficacité des missions. « Ce test avec les ACP répond directement aux exigences évolutives de la guerre moderne et aux besoins exprimés », a déclaré le général Ken Wilsbach, à la tête de l'Air Combat Command, soit le commandement de combat aérien. « Nous allons intégrer les ACP grâce à ce type d'évaluations exigeantes, axées sur les opérateurs, qui nous permettent d'apprendre rapidement et d'améliorer la collaboration entre homme et machine. Cette approche est fondamentale pour affiner nos capacités de combat, maintenir la supériorité aérienne et garantir que nous pouvons soutenir efficacement les forces interarmées dans des environnements [de combat] futurs et complexes », ajoute le général Ken Wilsbach.
Cette simulation de mission a été mise en œuvre par le laboratoire de recherche de l'armée de l'air (AFRL, Air Force Research Laboratory) et le centre d'essais de l'armée de l'air du commandement du matériel de l'armée de l'air et l'US Navy. En clair, le but avoué est de démontrer une approche conjointe du développement des capacités qui répond à l'ensemble des besoins opérationnels. Les données issues de la récente démonstration en vol serviront de base au développement et au déploiement futurs de capacités semi-autonomes au sein du département de la Défense. À mesure que l'US Air Force se modernise pour répondre aux exigences d'un environnement opérationnel plus conflictuel et plus complexe, la collaboration homme-machine avec les ACP sera essentielle pour garantir une flexibilité opérationnelle et la réussite des missions, quelle que soit la génération de chasseurs concernés.
L'US Air Force a récemment fait une démonstration d'une avancée majeure dans le domaine de la collaboration homme-machine, en faisant voler des plateformes collaboratives autonomes aux côtés d'avions de chasse pilotés lors d'un exercice d'entraînement depuis la base aérienne d'Eglin, en Floride. Les pilotes aux commandes d'un F-16C Fighting Falcon et d'un F-15E Strike Eagle ont chacun contrôlé deux drones XQ-58A Valkyrie dans le cadre d'un scénario d'entraînement au combat aérien.
L'US Air Force a récemment fait une démonstration d'une avancée majeure dans le domaine de la collaboration homme-machine, en faisant voler des plateformes collaboratives autonomes aux côtés d'avions de chasse pilotés lors d'un exercice d'entraînement depuis la base aérienne d'Eglin, en Floride. Les pilotes aux commandes d'un F-16C Fighting Falcon et d'un F-15E Strike Eagle ont chacun contrôlé deux drones XQ-58A Valkyrie dans le cadre d'un scénario d'entraînement au combat aérien, démontrant ainsi l'intégration en temps réel entre les systèmes pilotés et semi-autonomes. L'utilisation réussie d'avions de combat de quatrième génération pour contrôler les avions sans pilote constitue une avancée certaine dans le cadre du concept d'aéronef de combat collaboratif. Jusqu'alors et à l'exception notable de la France, ce dernier s'est largement concentré sur l'association des plateformes autonomes avec des appareils de cinquième voire de sixième génération tels que le F-35 voire le futur F-47.
Ce vol récent a marqué une étape décisive dans l'intégration des plateformes collaboratives autonomes (ACP) au sein du combat aérien, réduisant la charge de travail des pilotes tout en améliorant la conscience situationnelle, soit la perception de l'environnement proche et l'efficacité des missions. « Ce test avec les ACP répond directement aux exigences évolutives de la guerre moderne et aux besoins exprimés », a déclaré le général Ken Wilsbach, à la tête de l'Air Combat Command, soit le commandement de combat aérien. « Nous allons intégrer les ACP grâce à ce type d'évaluations exigeantes, axées sur les opérateurs, qui nous permettent d'apprendre rapidement et d'améliorer la collaboration entre homme et machine. Cette approche est fondamentale pour affiner nos capacités de combat, maintenir la supériorité aérienne et garantir que nous pouvons soutenir efficacement les forces interarmées dans des environnements [de combat] futurs et complexes », ajoute le général Ken Wilsbach.
Cette simulation de mission a été mise en œuvre par le laboratoire de recherche de l'armée de l'air (AFRL, Air Force Research Laboratory) et le centre d'essais de l'armée de l'air du commandement du matériel de l'armée de l'air et l'US Navy. En clair, le but avoué est de démontrer une approche conjointe du développement des capacités qui répond à l'ensemble des besoins opérationnels. Les données issues de la récente démonstration en vol serviront de base au développement et au déploiement futurs de capacités semi-autonomes au sein du département de la Défense. À mesure que l'US Air Force se modernise pour répondre aux exigences d'un environnement opérationnel plus conflictuel et plus complexe, la collaboration homme-machine avec les ACP sera essentielle pour garantir une flexibilité opérationnelle et la réussite des missions, quelle que soit la génération de chasseurs concernés.
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