La fusée européenne a mis en orbite avec succès le satellite européen d’observation de la Terre Sentinel-1D. Peu à peu, la routine s’installe tandis que de nouveaux défis sont en approche.
Le décollage a eu lieu à 22h02 heure de Paris (18h02 heure de Kourou). Pour son quatrième vol, Ariane 6 a décollé du Centre spatial Guyanais et placé en orbite Sentinel-1D 34 minutes plus tard, en orbite héliosynchrone à 693 km d’altitude. Le vol nominal a ainsi clôturé une campagne qui avait débuté le 11 septembre dernier. La version du lanceur utilisée cette nuit était celle à deux booster (62).
2184 kg : Sentinel-1D est donc le dernier bijou du programme Copernicus financé et piloté par la Commission Européenne. Equipé d’un radar à synthèse d’ouverture (SAR) en bande C, le satellite rejoint son compère Sentinel-1C mis en orbite par Vega-C en décembre 2024. Tous deux renouvellent le segment d’imagerie radar du programme avec un taux de revisite de 6 jours. Les applications sont nombreuses. En particulier, Sentinel-1D emporte avec lui un récepteur AIS (Système Automatique d’Indentification) ce qui lui permettra de faire de la surveillance du trafic maritime en repérant les navires qui coupent illégalement leur système.
Avec le vol VA265 de cette nuit, Ariane 6 dessert l’orbite basse pour la quatrième fois. Les prochaines missions auront des profils différents, à commencer par le vol suivant qui devra livrer une paire de satellite de positionnement européens Galileo à destination de l’orbite moyenne à 23 600 km d’altitude. La fenêtre de tir débute le mois prochain. Promis pour cette année, le premier vol de la version lourde d’Ariane 6 (version 64 à quatre boosters) a été reporté à 2026. Il livrera en orbite basse une grappe de satellite de télécommunication de la filiale KuiperSat d’Amazon.
La fusée européenne a mis en orbite avec succès le satellite européen d’observation de la Terre Sentinel-1D. Peu à peu, la routine s’installe tandis que de nouveaux défis sont en approche.
Le décollage a eu lieu à 22h02 heure de Paris (18h02 heure de Kourou). Pour son quatrième vol, Ariane 6 a décollé du Centre spatial Guyanais et placé en orbite Sentinel-1D 34 minutes plus tard, en orbite héliosynchrone à 693 km d’altitude. Le vol nominal a ainsi clôturé une campagne qui avait débuté le 11 septembre dernier. La version du lanceur utilisée cette nuit était celle à deux booster (62).
2184 kg : Sentinel-1D est donc le dernier bijou du programme Copernicus financé et piloté par la Commission Européenne. Equipé d’un radar à synthèse d’ouverture (SAR) en bande C, le satellite rejoint son compère Sentinel-1C mis en orbite par Vega-C en décembre 2024. Tous deux renouvellent le segment d’imagerie radar du programme avec un taux de revisite de 6 jours. Les applications sont nombreuses. En particulier, Sentinel-1D emporte avec lui un récepteur AIS (Système Automatique d’Indentification) ce qui lui permettra de faire de la surveillance du trafic maritime en repérant les navires qui coupent illégalement leur système.
Avec le vol VA265 de cette nuit, Ariane 6 dessert l’orbite basse pour la quatrième fois. Les prochaines missions auront des profils différents, à commencer par le vol suivant qui devra livrer une paire de satellite de positionnement européens Galileo à destination de l’orbite moyenne à 23 600 km d’altitude. La fenêtre de tir débute le mois prochain. Promis pour cette année, le premier vol de la version lourde d’Ariane 6 (version 64 à quatre boosters) a été reporté à 2026. Il livrera en orbite basse une grappe de satellite de télécommunication de la filiale KuiperSat d’Amazon.
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