Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Au lendemain du troisième vol Ariane 6 de l’année, nous avons pu nous approcher des étages de la mission suivante, prévue le mois prochain.
Illustration d’une montée en cadence remarquable, à peine la mission VA265 d’Ariane 6 réalisée (avec l’envoi sur orbite héliosynchrone du satellite d’observation de la Terre Sentinel 1D du programme Copernicus de l’Union européenne), le Centre spatial guyanais s’était-il mis au rythme de la campagne de la mission suivante, prévue le mois prochain (la date n’a pas encore été communiqué officiellement).
Il s’agira de placer sur orbite moyenne, toujours pour l’UE, deux nouveaux satellites de navigation Galileo.
Le nouveau lanceur lourd sera ainsi mis en œuvre pour la cinquième fois en 18 mois (son vol inaugural était intervenu en juillet 2024) : un rythme « assez exceptionnel », considère notamment Caroline Arnoux, directrice de la Business Unit Ariane chez Arianespace ; à titre de comparaison, le lanceur japonais H3 qui a réalisé le mois dernier sa sixième mission est entré en service en mars 2023 (échec en vol), puis a mis 16 mois avant sa quatrième mission.
Quant au New Glenn de Blue Origin, son second vol est intervenu le 13 novembre, après 301 jours d’intervalle.
Le 5 novembre (lendemain du succès de la mission VA265), les journalistes européens présents au CSG ont pu d’approcher des étages inférieur LLPM (Lower Liquid Propulsion Module) et supérieur ULPM (Upper Liquid Propulsion Module) d’Ariane 6, déjà raccordés dans le bâtiment d’assemblage lanceur (BAL) pour la mission VA266.
Le lendemain, un Boeing 747 Cargo de la compagnie luxembourgeoise Cargolux livrait les charges utiles à l’aéroport de Cayenne Félix-Eboué.
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Au lendemain du troisième vol Ariane 6 de l’année, nous avons pu nous approcher des étages de la mission suivante, prévue le mois prochain.
Illustration d’une montée en cadence remarquable, à peine la mission VA265 d’Ariane 6 réalisée (avec l’envoi sur orbite héliosynchrone du satellite d’observation de la Terre Sentinel 1D du programme Copernicus de l’Union européenne), le Centre spatial guyanais s’était-il mis au rythme de la campagne de la mission suivante, prévue le mois prochain (la date n’a pas encore été communiqué officiellement).
Il s’agira de placer sur orbite moyenne, toujours pour l’UE, deux nouveaux satellites de navigation Galileo.
Le nouveau lanceur lourd sera ainsi mis en œuvre pour la cinquième fois en 18 mois (son vol inaugural était intervenu en juillet 2024) : un rythme « assez exceptionnel », considère notamment Caroline Arnoux, directrice de la Business Unit Ariane chez Arianespace ; à titre de comparaison, le lanceur japonais H3 qui a réalisé le mois dernier sa sixième mission est entré en service en mars 2023 (échec en vol), puis a mis 16 mois avant sa quatrième mission.
Quant au New Glenn de Blue Origin, son second vol est intervenu le 13 novembre, après 301 jours d’intervalle.
Le 5 novembre (lendemain du succès de la mission VA265), les journalistes européens présents au CSG ont pu d’approcher des étages inférieur LLPM (Lower Liquid Propulsion Module) et supérieur ULPM (Upper Liquid Propulsion Module) d’Ariane 6, déjà raccordés dans le bâtiment d’assemblage lanceur (BAL) pour la mission VA266.
Le lendemain, un Boeing 747 Cargo de la compagnie luxembourgeoise Cargolux livrait les charges utiles à l’aéroport de Cayenne Félix-Eboué.
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