Le premier appareil sera livré au premier trimestre 2026 à Landivisiau.
Pour succèder aux six DA10 (Falcon 10 Mer) de la marine la direction de la maintenance aéronautique (DMAe) a retenu le PC-24, proposé par Jet Aviation, après un appel d'offres en deux temps. L'appareil monopilote servira à la formation des pilotes de chasse de Landivisiau, en complément du Rafale Marine, ainsi que pour les vols VIP des autorités de la marine.
Le contrat a été notifié fin août pour une dizaine d'années, alors que les DA10 arrivaient en fin de vie. Deux avaient d'ailleurs déjà été retirés du service actif, un troisième va suivre prochainement. Le dernier partira en 2027, une fois que le troisième et dernier PC-24 aura été livré (un appareil livré tous les six mois) à la 57S. Il s'agit d'une location coque nue, la marine se chargeant des équipages pour les vols VIP : une dizaine de passagers peuvent prendre place à bord en plus du pilote, un net gain par rapport au DA10 dont la cabine, ancienne, était plus limitée.
A ce stade, le futur des avions n'est pas connu : sur stèle, dans un musée, ou pourquoi pas, en vol. Un dossier à traiter par le délégué au patrimoine de la marine, le commissaire général Mercier, rattaché à l'état-major de la marine.
Le premier appareil sera livré au premier trimestre 2026 à Landivisiau.
Pour succèder aux six DA10 (Falcon 10 Mer) de la marine la direction de la maintenance aéronautique (DMAe) a retenu le PC-24, proposé par Jet Aviation, après un appel d'offres en deux temps. L'appareil monopilote servira à la formation des pilotes de chasse de Landivisiau, en complément du Rafale Marine, ainsi que pour les vols VIP des autorités de la marine.
Le contrat a été notifié fin août pour une dizaine d'années, alors que les DA10 arrivaient en fin de vie. Deux avaient d'ailleurs déjà été retirés du service actif, un troisième va suivre prochainement. Le dernier partira en 2027, une fois que le troisième et dernier PC-24 aura été livré (un appareil livré tous les six mois) à la 57S. Il s'agit d'une location coque nue, la marine se chargeant des équipages pour les vols VIP : une dizaine de passagers peuvent prendre place à bord en plus du pilote, un net gain par rapport au DA10 dont la cabine, ancienne, était plus limitée.
A ce stade, le futur des avions n'est pas connu : sur stèle, dans un musée, ou pourquoi pas, en vol. Un dossier à traiter par le délégué au patrimoine de la marine, le commissaire général Mercier, rattaché à l'état-major de la marine.
Commentaires