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Même si le récent accident de Jeju Air semble incriminer des oiseaux dont l’aspiration aurait pu détériorer un moteur hydraulique, le « risque aviaire » est plutôt très bien géré au niveau du transport aérien international. Les collisions éventuelles ont, statistiquement, très rarement de conséquences fatales.
L’accident survenu le 29 décembre 2024 à Muan, en Corée du Sud, et ayant entraîné la mort de 179 personnes sur les 181 présentes à bord du vol Jeju Air 2216 a remis en lumière un phénomène bien connu du transport aérien international : le « risque aviaire », qui désigne la collision
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Même si le récent accident de Jeju Air semble incriminer des oiseaux dont l’aspiration aurait pu détériorer un moteur hydraulique, le « risque aviaire » est plutôt très bien géré au niveau du transport aérien international. Les collisions éventuelles ont, statistiquement, très rarement de conséquences fatales.
L’accident survenu le 29 décembre 2024 à Muan, en Corée du Sud, et ayant entraîné la mort de 179 personnes sur les 181 présentes à bord du vol Jeju Air 2216 a remis en lumière un phénomène bien connu du transport aérien international : le « risque aviaire », qui désigne la collision ou l’aspiration de tout type d’oiseau, en vol ou en
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