Plusieurs contrats de lancements ou avenants ont été officialisés fin janvier, témoignant si besoin était que l’Europe doit rester soudée.
Le 28 janvier, au cours de la 17e conférence sur la politique spatiale européenne qui s’est tenue à Bruxelles, Arianespace a signé avec la Commission européenne et l’Agence de l’Union européenne pour le programme spatial (EUSPA), un nouveau contrat de lancement.
Il s’agissait d’officialiser pour l’envoi du 17e lot de satellites Galileo pour le positionnement – le quatrième sur un lanceur lourd Ariane 6 et le premier pour la seconde génération de la constellation européenne.
Dans la foulée, l’ESA (mandatée par la Commission Européenne) a signé avec Arianespace un contrat attribuant le lancement du satellite Sentinel 1D du programme Copernicus de surveillance de l’environnement.
La mission était initialement prévue sur le lanceur léger Vega C : ce n’est donc pas un nouveau contrat pour Arianespace, mais un satellite de plus confié à Ariane 6.
De même, le lancement du premier satellite météorologique MetOp de seconde génération, MetOp-SG A1, a été avancé au mois d’août sur le deuxième vol commercial d’Ariane 6.
Ce nouvel accord témoigne du rétablissement de la confiance entre l’historique opérateur de lancements de l’Europe spatiale et Eumetsat, l’agence de satellites météorologiques européens.
On se souvient que cette dernière avait suscité l’indignation l’an passé lorsqu’elle avait choisi SpaceX pour lanceur son satellite MTG S1.
Les signatures du 28 septembre se sont terminées par une photo de groupe très symbolique, rassemblant les représentants d’Arianespace, d’Avio, de la Commission européenne, de l’ESA, d’Eumetsat, de l’EUSPA.
Le lendemain, un quatrième contrat a été signé entre Arianespace et l’ESA.
Il concernait cette fois le lancement à la fin de l’année 2026 de la mission scientifique Plato (PLAnetary Transits and Oscillations of stars).
Placé à 1,5 million de kilomètres de la Terre, le satellite s’attachera à détecter et étudier de nouveaux systèmes étoiles-planètes parmi la Voie lactée, en particulier des planètes de type terrestre orbitant dans la zone habitable d'étoiles de type solaire.
« Ce nouveau contrat porte à 32 le nombre de lancements en carnet de commande pour Ariane 6, soulignant une fois de plus que ce nouveau lanceur est parfaitement adapté aux besoins européens et internationaux, y compris les plus complexes », s’est réjoui David Cavaillolès, le nouveau président exécutif d’Arianespace.
Plusieurs contrats de lancements ou avenants ont été officialisés fin janvier, témoignant si besoin était que l’Europe doit rester soudée.
Le 28 janvier, au cours de la 17e conférence sur la politique spatiale européenne qui s’est tenue à Bruxelles, Arianespace a signé avec la Commission européenne et l’Agence de l’Union européenne pour le programme spatial (EUSPA), un nouveau contrat de lancement.
Il s’agissait d’officialiser pour l’envoi du 17e lot de satellites Galileo pour le positionnement – le quatrième sur un lanceur lourd Ariane 6 et le premier pour la seconde génération de la constellation européenne.
Dans la foulée, l’ESA (mandatée par la Commission Européenne) a signé avec Arianespace un contrat attribuant le lancement du satellite Sentinel 1D du programme Copernicus de surveillance de l’environnement.
La mission était initialement prévue sur le lanceur léger Vega C : ce n’est donc pas un nouveau contrat pour Arianespace, mais un satellite de plus confié à Ariane 6.
De même, le lancement du premier satellite météorologique MetOp de seconde génération, MetOp-SG A1, a été avancé au mois d’août sur le deuxième vol commercial d’Ariane 6.
Ce nouvel accord témoigne du rétablissement de la confiance entre l’historique opérateur de lancements de l’Europe spatiale et Eumetsat, l’agence de satellites météorologiques européens.
On se souvient que cette dernière avait suscité l’indignation l’an passé lorsqu’elle avait choisi SpaceX pour lanceur son satellite MTG S1.
Les signatures du 28 septembre se sont terminées par une photo de groupe très symbolique, rassemblant les représentants d’Arianespace, d’Avio, de la Commission européenne, de l’ESA, d’Eumetsat, de l’EUSPA.
Le lendemain, un quatrième contrat a été signé entre Arianespace et l’ESA.
Il concernait cette fois le lancement à la fin de l’année 2026 de la mission scientifique Plato (PLAnetary Transits and Oscillations of stars).
Placé à 1,5 million de kilomètres de la Terre, le satellite s’attachera à détecter et étudier de nouveaux systèmes étoiles-planètes parmi la Voie lactée, en particulier des planètes de type terrestre orbitant dans la zone habitable d'étoiles de type solaire.
« Ce nouveau contrat porte à 32 le nombre de lancements en carnet de commande pour Ariane 6, soulignant une fois de plus que ce nouveau lanceur est parfaitement adapté aux besoins européens et internationaux, y compris les plus complexes », s’est réjoui David Cavaillolès, le nouveau président exécutif d’Arianespace.
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