Le 8 février 1985, le lanceur européen Ariane plaçait sur orbite deux satellites de télécommunications, dont Arabsat pour le compte des Etats arabes.
Le nombre annuel de lancements spatiaux ne cesse d’atteindre des sommets depuis 2021. L’an passé, il a été dopé par la hausse toujours exponentielle de l’activité de SpaceX. A retrouver cette semaine dans Air & Cosmos.
S’il est entendu que la Russie contemporaine ne joue plus dans la cour des très grands comme l’Union soviétique en son temps, elle continue de maintenir une activité spatiale soutenue, malgré les sanctions occidentales à son encontre.
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 30 janvier, l’astronaute américain Suni Williams a passé près de 5 heures et demi à l’extérieur de la Station spatiale internationale. L’EVA a été immortalisée par son collègue Don Pettit.
Le 8 février 1985, le lanceur européen Ariane plaçait sur orbite Brasilsat, le premier satellite artificiel brésilien (dédié aux télécommunications). Pour autant, l’intérêt du spatial au Brésil remonte aux années soixante.
Le 6 février 1975, le lanceur français Diamant BP4 plaçait sur orbite Starlette, un petit « satellite boule » dédié à l’étude de la Terre en général, le champ de gravité en particulier.
L’Aéro-Club de France accueillera le 21 février une table ronde organisée par sa Commission Astronautique, en partenariat avec AGP21 et la 3AF. Sera notamment présent l’astronaute Michel Tognini.
Plusieurs contrats de lancements ou avenants ont été officialisés fin janvier, témoignant si besoin était que l’Europe doit rester soudée.
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