Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 2 mars, Firefly Aerospace est devenue la seconde société privée américaine de l’histoire à déposer un engin sur notre satellite naturel, un an après Intuitive Machines. Avec un peu moins de problèmes.
Après 45 jours de voyage (la mission avit été lancée le 15 janvier dernier par SpaceX), la sonde Blue Ghost M1 de l’entreprise américaine Firefly Aerospace s’est posée le 2 mars vers 8 h 34 UTC dans la région de Mons Latreille, une formation volcanique de la Mer des Crises, sur la face nord-est de notre satellite naturel.
L’engin, qui pesait 1,5 tonne au décollage et mesure 2 mètres de haut et 3,5 mètres de large, embarque dix charges utiles scientifiques du programme commercial CLPS (Commercial Lunar Payload Services) de la NASA, soit environ 150 kg.
La mission doit fonctionner pendant une journée lunaire (14 jours terrestres), et devrait notamment immortaliser depuis la surface sélène une éclipse totale de Soleil les 13 et 14 mars, lorsque la Lune passera complètement dans l'ombre de la Terre.
C’est la seconde fois qu’un engin privé américain réussit à se poser sur la Lune, après la sonde IM-1 (Odysseus) d’Intuitive Machines, une autre entreprise texane, le 22 février 2024.
Mais la sonde s’était finalement retrouvée inclinée avec un angle d’environ 30 degrés, l’un de ses six pieds s’étant brisé après l’atterrissage, plus brutal que prévu.
L’atterrisseur Blue Ghost M1, lui, apparaît dans une position parfaitement « stable et verticale », selon Jason Kim, le nouveau directeur général de Firefly Aerospace (en poste depuis octobre 2024).
Assez rapidement, cette photo époustouflante a été partagée sur les réseaux sociaux.
Elle montre, au centre, l’ombre de la sonde qui s’étire dans la Mer des Crises et, au loin, dans un ciel noir d’encre, une petite bille légèrement bleutée : notre fragile planète Terre.
Dans quatre jours, le 6 mars, Intuitive Machines espère réitérer l’exploit, en posant cette fois sur le pôle Sud de la Lune la sonde IM-2 (Athena), partie le 27 février dernier, toujours avec un Falcon 9 de SpaceX…
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 2 mars, Firefly Aerospace est devenue la seconde société privée américaine de l’histoire à déposer un engin sur notre satellite naturel, un an après Intuitive Machines. Avec un peu moins de problèmes.
Après 45 jours de voyage (la mission avit été lancée le 15 janvier dernier par SpaceX), la sonde Blue Ghost M1 de l’entreprise américaine Firefly Aerospace s’est posée le 2 mars vers 8 h 34 UTC dans la région de Mons Latreille, une formation volcanique de la Mer des Crises, sur la face nord-est de notre satellite naturel.
L’engin, qui pesait 1,5 tonne au décollage et mesure 2 mètres de haut et 3,5 mètres de large, embarque dix charges utiles scientifiques du programme commercial CLPS (Commercial Lunar Payload Services) de la NASA, soit environ 150 kg.
La mission doit fonctionner pendant une journée lunaire (14 jours terrestres), et devrait notamment immortaliser depuis la surface sélène une éclipse totale de Soleil les 13 et 14 mars, lorsque la Lune passera complètement dans l'ombre de la Terre.
C’est la seconde fois qu’un engin privé américain réussit à se poser sur la Lune, après la sonde IM-1 (Odysseus) d’Intuitive Machines, une autre entreprise texane, le 22 février 2024.
Mais la sonde s’était finalement retrouvée inclinée avec un angle d’environ 30 degrés, l’un de ses six pieds s’étant brisé après l’atterrissage, plus brutal que prévu.
L’atterrisseur Blue Ghost M1, lui, apparaît dans une position parfaitement « stable et verticale », selon Jason Kim, le nouveau directeur général de Firefly Aerospace (en poste depuis octobre 2024).
Assez rapidement, cette photo époustouflante a été partagée sur les réseaux sociaux.
Elle montre, au centre, l’ombre de la sonde qui s’étire dans la Mer des Crises et, au loin, dans un ciel noir d’encre, une petite bille légèrement bleutée : notre fragile planète Terre.
Dans quatre jours, le 6 mars, Intuitive Machines espère réitérer l’exploit, en posant cette fois sur le pôle Sud de la Lune la sonde IM-2 (Athena), partie le 27 février dernier, toujours avec un Falcon 9 de SpaceX…
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