Réservé aux abonnés
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
Lire aussi
L’émotion était présente le mois dernier à l’usine ArianeGroup des Mureaux, lors d’une opération menée pour la dernière fois depuis 1993. Air & Cosmos était présent.
Le 5 décembre, pour la dernière fois dans l’histoire des lanceurs européens, un étage principal cryotechnique (EPC) d’Ariane 5 a été basculé à l’horizontale à l’usine ArianeGroup des Mureaux (Yvelines), au cours d’une opération appelée « désérection », avant d’être installé dans un conteneur de transport, chargé rallier la Guyane.
Marc Chevalier, responsable
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
L’émotion était présente le mois dernier à l’usine ArianeGroup des Mureaux, lors d’une opération menée pour la dernière fois depuis 1993. Air & Cosmos était présent.
Le 5 décembre, pour la dernière fois dans l’histoire des lanceurs européens, un étage principal cryotechnique (EPC) d’Ariane 5 a été basculé à l’horizontale à l’usine ArianeGroup des Mureaux (Yvelines), au cours d’une opération appelée « désérection », avant d’être installé dans un conteneur de transport, chargé rallier la Guyane.
Marc Chevalier, responsable de production Ariane 5, nous confiait, non sans une certaine nostalgie :
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte