Le 25 novembre, Dassault Aviation et Thales ont signé un partenariat pour développer ensemble une IA pour l’aéronautique et la défense. La signature a eu lieu lors du Sommet international Adopt AI, organisé sous le patronage du Président de la République. Thales passera par son accélérateur d’intelligence artificielle cortAIx.
Le but ici est dans un premier temps de soulager le traitement humain des informations provenant de toujours plus de capteurs, au bénéfice des opérations d’aéronefs habités ou non. Cela couvre donc l’observation et l’analyse de situation. L’usage de l’IA à la fluidification du traitement des données est devenu une nécessité afin de rester réactif. De plus en plus d’acteurs de l’industrie de défense proposent ce genre de service, comme l’alliance entre Planet et Quantum Systems en Allemagne pour améliorer les capacités de renseignement en mixant observation continue par satellite et assignation rapide d'un drone pour des compléments d’informations. Le recours de l’IA aidera donc ici à la prise de décision, la planification et la maîtrise de l’action.
Ce partenariat est une réponse aux autres programmes de préparation du combat aérien collaboratif à l’international, tendance globale aujourd’hui. Parmi les plus reconnus, le programme CCA (Collaborative Combat Aircraft) où le chasseur habité sera à terme accompagné d’un ou plusieurs drones maniables et très autonomes, comme le YFQ-44A d’Anduril. La Chine et le Royaume-Uni travaillent aussi sur le combat aérien collaboratif. Le partenariat entre Dassault et Thales permet donc à la France de rejoindre la course, et de tenter de rester souveraine dans cette tendance du combat aérien du futur. cortAIx est déjà reconnu dans le développement d’IA pour le combat terrestre, avec la solution OpenDrobotics d’intégration de drones et de robots.
Le 25 novembre, Dassault Aviation et Thales ont signé un partenariat pour développer ensemble une IA pour l’aéronautique et la défense. La signature a eu lieu lors du Sommet international Adopt AI, organisé sous le patronage du Président de la République. Thales passera par son accélérateur d’intelligence artificielle cortAIx.
Le but ici est dans un premier temps de soulager le traitement humain des informations provenant de toujours plus de capteurs, au bénéfice des opérations d’aéronefs habités ou non. Cela couvre donc l’observation et l’analyse de situation. L’usage de l’IA à la fluidification du traitement des données est devenu une nécessité afin de rester réactif. De plus en plus d’acteurs de l’industrie de défense proposent ce genre de service, comme l’alliance entre Planet et Quantum Systems en Allemagne pour améliorer les capacités de renseignement en mixant observation continue par satellite et assignation rapide d'un drone pour des compléments d’informations. Le recours de l’IA aidera donc ici à la prise de décision, la planification et la maîtrise de l’action.
Ce partenariat est une réponse aux autres programmes de préparation du combat aérien collaboratif à l’international, tendance globale aujourd’hui. Parmi les plus reconnus, le programme CCA (Collaborative Combat Aircraft) où le chasseur habité sera à terme accompagné d’un ou plusieurs drones maniables et très autonomes, comme le YFQ-44A d’Anduril. La Chine et le Royaume-Uni travaillent aussi sur le combat aérien collaboratif. Le partenariat entre Dassault et Thales permet donc à la France de rejoindre la course, et de tenter de rester souveraine dans cette tendance du combat aérien du futur. cortAIx est déjà reconnu dans le développement d’IA pour le combat terrestre, avec la solution OpenDrobotics d’intégration de drones et de robots.
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