Le Cnes a renforcé sa collaboration avec le Cerema, le Centre d’Etudes sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement, ce mercredi 19 décembre à l’occasion du Salon des Maires 2025.
C’est une des missions du Cnes d’utiliser les données spatiales au service du développement et de la santé des territoires. Rien de mieux que le Salon des Maires pour interagir le plus possible avec les élus des collectivités locales et territoriales. En crise budgétaire, face à l’accélération et la brutalisation des évolutions climatiques, il faut garantir la bonne santé des territoires à moindre coût, et avec une nécessaire vision globale.
Le Cnes a donc ouvert une collaboration avec les Voies Navigables de France. En effet, les canaux et les cours d’eau français subissent de plein fouet les effets du réchauffement climatique. Autre acteur au cœur des problématiques territoriales liées au réchauffement climatique : l’Institut national de l’information géographique et forestière, l’IGN. Les deux ont constamment besoin de données spatiales.
Le Cnes a déployé plusieurs moyens pour établir des applications et solutions pour les territoires à partir de données spatiales, à commencer par le Lab’OT (Laboratoire d’Observation de la Terre). Ce dernier a développé des cas d’études concrets pour gérer des crises ou des transformations globales que peuvent vivre – subir – les collectivités (bathymétrie des littoraux, suivi de parasites dans les forêts, les exemples ne manquent pas !). C’est donc lors du Salon des Maires, lors d’un événement coordonné par le Commissariat Général du Développement Durable du ministère de la Transition Ecologique, que le Cnes a rappelé son engagement en faveur des politiques publiques. Le gros des données géospatiales vient aujourd’hui du programme européen Copernicus et des satellites Pleiades et Pleiades Neo.
Le Cnes a renforcé sa collaboration avec le Cerema, le Centre d’Etudes sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement, ce mercredi 19 décembre à l’occasion du Salon des Maires 2025.
C’est une des missions du Cnes d’utiliser les données spatiales au service du développement et de la santé des territoires. Rien de mieux que le Salon des Maires pour interagir le plus possible avec les élus des collectivités locales et territoriales. En crise budgétaire, face à l’accélération et la brutalisation des évolutions climatiques, il faut garantir la bonne santé des territoires à moindre coût, et avec une nécessaire vision globale.
Le Cnes a donc ouvert une collaboration avec les Voies Navigables de France. En effet, les canaux et les cours d’eau français subissent de plein fouet les effets du réchauffement climatique. Autre acteur au cœur des problématiques territoriales liées au réchauffement climatique : l’Institut national de l’information géographique et forestière, l’IGN. Les deux ont constamment besoin de données spatiales.
Le Cnes a déployé plusieurs moyens pour établir des applications et solutions pour les territoires à partir de données spatiales, à commencer par le Lab’OT (Laboratoire d’Observation de la Terre). Ce dernier a développé des cas d’études concrets pour gérer des crises ou des transformations globales que peuvent vivre – subir – les collectivités (bathymétrie des littoraux, suivi de parasites dans les forêts, les exemples ne manquent pas !). C’est donc lors du Salon des Maires, lors d’un événement coordonné par le Commissariat Général du Développement Durable du ministère de la Transition Ecologique, que le Cnes a rappelé son engagement en faveur des politiques publiques. Le gros des données géospatiales vient aujourd’hui du programme européen Copernicus et des satellites Pleiades et Pleiades Neo.
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