Les 12 et 13 octobre 1964, l’Union soviétique procède à sa septième mission habitée, la première de l’histoire de l’astronautique qui compte trois cosmonautes.
Si elle a envoyé dans l’espace il y a seulement 15 ans son premier satellite artificiel, SwissCube 1, en réalité la Suisse est investie depuis longtemps dans de nombreux programmes internationaux, à travers diverses coopérations.
Le 22 mai, l’Agence spatiale européenne a officiellement annoncé les noms des deux premiers astronautes de la promotion 2022 qui, d’ici deux ans, effectueront des séjours de longue durée à bord de la Station spatiale européenne.
L’opérateur de lancements californien prépare sa montée en cadence (!), en équipant le pas de tir SLC-40 de Cape Canaveral d’une passerelle d’accès pour les astronautes.
Du 11 au 22 octobre 1968, le programme lunaire américain prenait son envol avec Apollo 7, une mission déterminante de près de 11 jours autour de la Terre pour tester le CSM avec un équipage.
Le 15 octobre 2003, avec le lancement de Yang Liwei à bord du vaisseau Shenzhou 5, la Chine devenait la troisième nation capable d’envoyer un être humain dans l’espace.
Le 25 mai 1973, un lanceur Saturn 1B envoyait dans l’espace la mission Skylab 2, dont le premier objectif était de rendre la station orbitale Skylab habitable.
Nous avons interrogé Josef Aschbacher, le directeur général de l’Agence spatiale européenne, lors du 73e Congrès international d’astronautique. L’occasion notamment de faire un point sur la conférence ministérielle qui se tiendra les 22 et 23 novembre prochains à Paris.
Les sanctions internationales décidées après l’invasion de l’Ukraine par la Russie et les contre-sanctions annoncées par les Russes devraient aussi impacter les activités spatiales. Premier passage en revue.