L’administration Trump, au travers du Département d’État, vient d’autoriser officiellement l’Ukraine à acheter des améliorations, pièces de rechange, équipements au sol,… au profit de ses avions de combat F-16 Fighting Falcon. Le contrat comprend aussi des services et de l’entrainement. Cette annonce est aussi à mettre en lien avec le récent transfert de trois parties centrales de F-16 ex-américains en Ukraine.
Le 2 mai, la Defense Security Cooperation Agency (DSCA) a publié un avis positif du Département d’État (équivalent américain du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères français) concernant une potentielle vente pour la formation et le soutien concernant les avions de combat F-16AM Fighting Falcon utilisés par l'Ukraine. La DSCA précise que l'Ukraine avait demandé d'acheter des équipements et services au profit de ses Fighting Falcon. La DSCA est pour une fois fort peu précise, probablement au vu du conflit concernant l'Ukraine mais annonce tout de même :
Au total, le coût estimé de ce contrat est de 310,5 millions de dollars (environ 274,75 millions d'euros). Comme expliqué à la fin de l'article, des images et vidéos de transfert de matériels confirment que le contrat a été signé par les deux parties (Ukraine et États-Unis).
Au niveau des industriels mentionnés, leur rôle n'est pas défini dans le cadre de ce contrat, même si, au vu de leur spécialité, ce rôle peut être à minima délimité :
Comme expliqué précédemment, cette autorisation du Département d’État est déjà appliquée sur le terrain. En effet, le 25 avril, un avion de transport An-124 d'Antonov Airlines se posait pour être chargé d'au moins trois parties centrales de F-16. Le lendemain, l'avion redécollait en direction de Rzeszów (Basses-Carpates, Pologne), l'aéroport servant de principal hub pour les matériels humanitaires et militaires livrés à l'Ukraine. La question de l'utilité de ces F-16 était toutefois sans réponse : leur emballage de transport confirmait qu'ils avaient une valeur pour leur destinataire... sauf que les avions étaient sans ailes, gouvernes et dérive mais aussi sans radôme et de fait, sans radar ainsi que sans moteur. La publication de ce 2 mai permet dès lors de confirmer que l'Ukraine pourra cannibaliser ces parties centrales au profit des F-16AM opérationnels au sein de la Force aérienne ukrainienne.
L’administration Trump, au travers du Département d’État, vient d’autoriser officiellement l’Ukraine à acheter des améliorations, pièces de rechange, équipements au sol,… au profit de ses avions de combat F-16 Fighting Falcon. Le contrat comprend aussi des services et de l’entrainement. Cette annonce est aussi à mettre en lien avec le récent transfert de trois parties centrales de F-16 ex-américains en Ukraine.
Le 2 mai, la Defense Security Cooperation Agency (DSCA) a publié un avis positif du Département d’État (équivalent américain du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères français) concernant une potentielle vente pour la formation et le soutien concernant les avions de combat F-16AM Fighting Falcon utilisés par l'Ukraine. La DSCA précise que l'Ukraine avait demandé d'acheter des équipements et services au profit de ses Fighting Falcon. La DSCA est pour une fois fort peu précise, probablement au vu du conflit concernant l'Ukraine mais annonce tout de même :
Au total, le coût estimé de ce contrat est de 310,5 millions de dollars (environ 274,75 millions d'euros). Comme expliqué à la fin de l'article, des images et vidéos de transfert de matériels confirment que le contrat a été signé par les deux parties (Ukraine et États-Unis).
Au niveau des industriels mentionnés, leur rôle n'est pas défini dans le cadre de ce contrat, même si, au vu de leur spécialité, ce rôle peut être à minima délimité :
Comme expliqué précédemment, cette autorisation du Département d’État est déjà appliquée sur le terrain. En effet, le 25 avril, un avion de transport An-124 d'Antonov Airlines se posait pour être chargé d'au moins trois parties centrales de F-16. Le lendemain, l'avion redécollait en direction de Rzeszów (Basses-Carpates, Pologne), l'aéroport servant de principal hub pour les matériels humanitaires et militaires livrés à l'Ukraine. La question de l'utilité de ces F-16 était toutefois sans réponse : leur emballage de transport confirmait qu'ils avaient une valeur pour leur destinataire... sauf que les avions étaient sans ailes, gouvernes et dérive mais aussi sans radôme et de fait, sans radar ainsi que sans moteur. La publication de ce 2 mai permet dès lors de confirmer que l'Ukraine pourra cannibaliser ces parties centrales au profit des F-16AM opérationnels au sein de la Force aérienne ukrainienne.
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