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Encore loin de se démocratiser, le tourisme spatial – suborbital, orbital et peut-être prochainement translunaire – connait un nouvel essor depuis un an. Certains s’enthousiasment, d’autres condamnent son empreinte écologique.
Que l’on parle d’excursions d’une dizaine de minutes pour tutoyer la ligne de Karman (à 100 km d’altitude) et admirer la rotondité de la Terre, ou qu’il s’agisse de séjours orbitaux complets, il faut reconnaître que le tourisme spatial aura mis un temps… certain pour passer des
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Encore loin de se démocratiser, le tourisme spatial – suborbital, orbital et peut-être prochainement translunaire – connait un nouvel essor depuis un an. Certains s’enthousiasment, d’autres condamnent son empreinte écologique.
Que l’on parle d’excursions d’une dizaine de minutes pour tutoyer la ligne de Karman (à 100 km d’altitude) et admirer la rotondité de la Terre, ou qu’il s’agisse de séjours orbitaux complets, il faut reconnaître que le tourisme spatial aura mis un temps… certain pour passer des premières expérimentations à une offre régulière.
Entre le premier vol
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