Réservé aux abonnés
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
Lire aussi
Avant le conflit en Ukraine, la filière aéronautique française avait engagée plusieurs solutions pour limiter au maximum sa consommation et ses achats en titane. Recyclage des déchets avec EcoTitanium tandis que le projet “Mama” porté par l'IRT Saint-Exupéry vise des gains de 30 %.
C'est l'un des effets industriels collatéraux du conflit en Ukraine. Le secteur aéronautique français est dépendant pour moitié du titane russe, principalement commercialisé par le fournisseur VSMPO-Avisma. Un précieux matériau qui se retrouve partout, dans le fuselage et les pièces de structure des appareils comme dans les moteurs.
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
Avant le conflit en Ukraine, la filière aéronautique française avait engagée plusieurs solutions pour limiter au maximum sa consommation et ses achats en titane. Recyclage des déchets avec EcoTitanium tandis que le projet “Mama” porté par l'IRT Saint-Exupéry vise des gains de 30 %.
C'est l'un des effets industriels collatéraux du conflit en Ukraine. Le secteur aéronautique français est dépendant pour moitié du titane russe, principalement commercialisé par le fournisseur VSMPO-Avisma. Un précieux matériau qui se retrouve partout, dans le fuselage et les pièces de structure des appareils comme dans les moteurs. Le contexte géopolitique actuel fragilise ainsi de facto la filière,
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte