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Il n’aura fallu que deux semaines à l’infatigable opérateur californien pour identifier le défaut qui a provoqué l’échec du lancement du 12 juillet, le régler et obtenir l’autorisation de retour en vol.
Le 12 juillet dernier, à l’occasion du déploiement du lot 9-3 de satellites de la constellation Starlink dédiée à l’internet global, SpaceX a rencontré son premier échec en vol depuis juin 2015 : le second étage du lanceur a cette fois été victime d’une fuite d’oxygène liquide, apparue après le
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Il n’aura fallu que deux semaines à l’infatigable opérateur californien pour identifier le défaut qui a provoqué l’échec du lancement du 12 juillet, le régler et obtenir l’autorisation de retour en vol.
Le 12 juillet dernier, à l’occasion du déploiement du lot 9-3 de satellites de la constellation Starlink dédiée à l’internet global, SpaceX a rencontré son premier échec en vol depuis juin 2015 : le second étage du lanceur a cette fois été victime d’une fuite d’oxygène liquide, apparue après le premier allumage du moteur Merlin et provoquant une accumulation de
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