La filiale d’ArianeGroup, qui développe le premier mini-lanceur récupérable européen, va pouvoir utiliser les installations russes abandonnées depuis le début de la guerre en Ukraine.
La nouvelle a été annoncée le 26 septembre à Meudon par Jean-Marc Astorg, le directeur de la stratégie du CNES, à l’occasion de la première journée de débats sur la souveraineté et la sécurité dans l’espace organisés par l’association Alumni Onera durant le festival STAR’s UP : le CNES autorise la startup francilienne MaiaSpace, qui développe le premier mini-lanceur récupérable européen, à utiliser l’ancien pas de tir Soyouz du Centre spatial guyanais.
Celui-ci devient ainsi la zone de référence du mini-lanceur à oxygène et bio-méthane liquides de la filiale d’ArianeGroup, créée en avril 2022, qui vise désormais 2026 pour le début de ses opérations commerciales.
Yohann Leroy, le président de l’entreprise, se réjouit : « La réutilisation d’un pas de tir déjà existant s’inscrit parfaitement dans la démarche de MaiaSpace visant à minimiser autant que possible son empreinte environnementale, sur Terre et dans l’espace. De plus, cette solution contribuera à optimiser le niveau de ses dépenses d’investissement et donc la viabilité économique de son projet. »
La filiale d’ArianeGroup, qui développe le premier mini-lanceur récupérable européen, va pouvoir utiliser les installations russes abandonnées depuis le début de la guerre en Ukraine.
La nouvelle a été annoncée le 26 septembre à Meudon par Jean-Marc Astorg, le directeur de la stratégie du CNES, à l’occasion de la première journée de débats sur la souveraineté et la sécurité dans l’espace organisés par l’association Alumni Onera durant le festival STAR’s UP : le CNES autorise la startup francilienne MaiaSpace, qui développe le premier mini-lanceur récupérable européen, à utiliser l’ancien pas de tir Soyouz du Centre spatial guyanais.
Celui-ci devient ainsi la zone de référence du mini-lanceur à oxygène et bio-méthane liquides de la filiale d’ArianeGroup, créée en avril 2022, qui vise désormais 2026 pour le début de ses opérations commerciales.
Yohann Leroy, le président de l’entreprise, se réjouit : « La réutilisation d’un pas de tir déjà existant s’inscrit parfaitement dans la démarche de MaiaSpace visant à minimiser autant que possible son empreinte environnementale, sur Terre et dans l’espace. De plus, cette solution contribuera à optimiser le niveau de ses dépenses d’investissement et donc la viabilité économique de son projet. »
Commentaires