Inoccupée depuis juin 2013, la première station chinoise a cessé de transmettre ses données vers le sol. L'information, laconique de la part des autorités chinoises, créé une certaine inquiétude chez les observateurs occidentaux.
Si l'article "Le grand plongeon" paru la semaine dernière dans le numéro 2494 d'Air & Cosmos constituait en grande partie un poisson d'avril (avec une zone de retombée improbable et de nombreux intervenants fictifs -tout comme leurs organismes), les Chinois pourraient réellement connaître quelques soucis actuellement avec leur station Tiangong
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