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Destiné à valider son utilisation militaire, le troisième vol du lanceur le plus lourd du monde présentait plusieurs enjeux inédits. Tous ont été relevés haut la main.
Le Falcon Heavy s’est vu confier le 25 juin une mission bien en-deçà de ses performances, mais bien plus complexe que toutes les missions réalisées jusqu’alors par les lanceurs de SpaceX : placer 24 satellites et cubesats sur trois orbites distinctes et avec des inclinaisons différentes.
Le vol devait durer plus de six heures, être marqué
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Destiné à valider son utilisation militaire, le troisième vol du lanceur le plus lourd du monde présentait plusieurs enjeux inédits. Tous ont été relevés haut la main.
Le Falcon Heavy s’est vu confier le 25 juin une mission bien en-deçà de ses performances, mais bien plus complexe que toutes les missions réalisées jusqu’alors par les lanceurs de SpaceX : placer 24 satellites et cubesats sur trois orbites distinctes et avec des inclinaisons différentes.
Le vol devait durer plus de six heures, être marqué par quatre allumages de l’étage supérieur et se terminer par une
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