Réservé aux abonnés
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
Lire aussi
Serge Chevrel est astronome à l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap), rattaché à l’Observatoire Midi-Pyrénées et à l’Université Paul Sabatier – Toulouse III. Si l’implantation de l’homme sur la Lune lui paraît assez évidente à terme, c’est sur sa préservation qu’il souhaite dès aujourd’hui attirer l’attention.
Que fera-t-on sur la Lune dans soixante ans alors que les choses ont stagné durant plus de cinquante ans après la fin du programme lunaire américain Apollo ? Y sera-t-on installé un peu, beaucoup, passionnément… ? Il est difficile de le dire. Cependant, avec le programme Artemis de la Nasa, qui
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
Serge Chevrel est astronome à l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap), rattaché à l’Observatoire Midi-Pyrénées et à l’Université Paul Sabatier – Toulouse III. Si l’implantation de l’homme sur la Lune lui paraît assez évidente à terme, c’est sur sa préservation qu’il souhaite dès aujourd’hui attirer l’attention.
Que fera-t-on sur la Lune dans soixante ans alors que les choses ont stagné durant plus de cinquante ans après la fin du programme lunaire américain Apollo ? Y sera-t-on installé un peu, beaucoup, passionnément… ? Il est difficile de le dire. Cependant, avec le programme Artemis de la Nasa, qui est pour l’instant le plus sur les rails depuis 2022,
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte