La plupart des avions de chasse de l'OTAN non-embarqués sont équipés d'une crosse. Contrairement aux avions embarqués, celle-ci est utilisée seulement lors des atterrissages d'urgence. Safran ajoute justement un système de freinage situé au milieu des pistes des bases aériennes belges et devrait à court terme moderniser les systèmes situés en bout de piste.
Dans le secteur de l'aéronautique militaire, les appareils embarqués se différencient la plupart du temps des autres appareils par leur crosse d'appontage. Toutefois, une grande partie des avions de combats non-embarqués sont également équipés d'une crosse pour les freinages d'urgence. La liste des appareils équipés est d'ailleurs longue et variée :
Lorsqu'un avion de combat doit atterrir en urgence suite à un incident technique, les différentes bases aériennes belges sont équipées d'un Aircraft Arresting Systems (AAS) en bout de chaque pistes. La Belgique détient plusieurs versions (fixes ou mobiles, systèmes de freins différents, etc) mais qui sont globalement reprises en deux catégories :
Toutefois, les AAS actuellement en service commencent à vieillir alors que les avions de combat de la Belgique mais aussi des pays membres de l'OTAN se développent et s’alourdissent. La Composante air a alors décidé en 2020 de notifier à Safran sa volonté de disposer de matériels plus modernes mais aussi d'un nouveau système situé au milieu de la piste : le Mid Runway Energy Absorber (MREA). Safran, entreprise dont l'expertise est reconnue dans ce domaine, est déjà sous contrat avec l'Armée de l'air belge pour l'entretien des différents systèmes AAS. Les travaux ont commencé en aout 2021 et le système a été réceptionné le 15 mars 2022. Cette réception comprend les différents essais du système via des tractions ou encore un essai réel avec un F-16 belge.
En 2023, la Composante air modernisera ses AAS en bout de chaque pistes, en commençant par la base aérienne de Florennes.
La plupart des avions de chasse de l'OTAN non-embarqués sont équipés d'une crosse. Contrairement aux avions embarqués, celle-ci est utilisée seulement lors des atterrissages d'urgence. Safran ajoute justement un système de freinage situé au milieu des pistes des bases aériennes belges et devrait à court terme moderniser les systèmes situés en bout de piste.
En fait, il s'agit d'une barrière- brin- d'arrêt mobile sur piste; ça pourrait être très utile pour freiner les commentaires d'un Trôle de belge .
Dans le secteur de l'aéronautique militaire, les appareils embarqués se différencient la plupart du temps des autres appareils par leur crosse d'appontage. Toutefois, une grande partie des avions de combats non-embarqués sont également équipés d'une crosse pour les freinages d'urgence. La liste des appareils équipés est d'ailleurs longue et variée :
Lorsqu'un avion de combat doit atterrir en urgence suite à un incident technique, les différentes bases aériennes belges sont équipées d'un Aircraft Arresting Systems (AAS) en bout de chaque pistes. La Belgique détient plusieurs versions (fixes ou mobiles, systèmes de freins différents, etc) mais qui sont globalement reprises en deux catégories :
Toutefois, les AAS actuellement en service commencent à vieillir alors que les avions de combat de la Belgique mais aussi des pays membres de l'OTAN se développent et s’alourdissent. La Composante air a alors décidé en 2020 de notifier à Safran sa volonté de disposer de matériels plus modernes mais aussi d'un nouveau système situé au milieu de la piste : le Mid Runway Energy Absorber (MREA). Safran, entreprise dont l'expertise est reconnue dans ce domaine, est déjà sous contrat avec l'Armée de l'air belge pour l'entretien des différents systèmes AAS. Les travaux ont commencé en aout 2021 et le système a été réceptionné le 15 mars 2022. Cette réception comprend les différents essais du système via des tractions ou encore un essai réel avec un F-16 belge.
En 2023, la Composante air modernisera ses AAS en bout de chaque pistes, en commençant par la base aérienne de Florennes.
En fait, il s'agit d'une barrière- brin- d'arrêt mobile sur piste; ça pourrait être très utile pour freiner les commentaires d'un Trôle de belge .
L'essai du système de freinage avec un F16 a peut être été instructif, mais pour assumer la conséquence de ses choix, la Belgique n'aurait ... elle pas pas dû s'assurer que le système est efficace avec un F35 ? plus
En fait, il s'agit d'une barrière- brin- d'arrêt mobile sur piste; ça pourrait être très utile pour freiner les commentaires d'un Trôle de belge .