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Coronavirus ou pas coronavirus, les différents acteurs de la chaîne du transport aérien se sont engagés vers une plus grande connectivité visant à simplifier et optimiser les flux de passagers tout en donnant à ces derniers toujours plus d'autonomie. L'occasion de redécouvrir cette thématique publiée lors du dernier Salon du Bourget.
L'ensemble du transport aérien civil est de plus en plus connecté et ne laisse quasiment plus de place à des « ruptures de charge » qui ne soient pas numériquement prises en compte. L’extrême complexité technologique des nouveaux avions (comme l’Airbus A350, entièrement « pucé » grâce
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Coronavirus ou pas coronavirus, les différents acteurs de la chaîne du transport aérien se sont engagés vers une plus grande connectivité visant à simplifier et optimiser les flux de passagers tout en donnant à ces derniers toujours plus d'autonomie. L'occasion de redécouvrir cette thématique publiée lors du dernier Salon du Bourget.
L'ensemble du transport aérien civil est de plus en plus connecté et ne laisse quasiment plus de place à des « ruptures de charge » qui ne soient pas numériquement prises en compte. L’extrême complexité technologique des nouveaux avions (comme l’Airbus A350, entièrement « pucé » grâce à la technologie RFID et capable de « dialoguer »
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