Face à son problème de masse, l'armée de l'air et de l'espace mobilise ses A400M. L'occasion d'en gagner encore plus.
L'Armée de l'Air et de l'Espace a présenté aujourd'hui son exercice Tarans, visant à préparer à la haute intensité la BAAP, qui détient essentiellement les avions de transport (tactique et d'assaut) et les hélicoptères.
L'occasion de rappeler le volume des soutes des avions de transport et d'assaut, qui vont, prochainement, avoir la possibilité d'emporter des disperseurs de drones -près d'une quarantaine de 20 kg- et de munitions télé-opérées. Une augmentation qui va contribuer à ramener l'avantage dans le camp des alliés. Car ainsi gréé, un Atlas pourra contribuer encore plus à la manoeuvre aéroterrestre, qu'il pourra filmer grâce au concept C3ISTAR développé par l'Escadron de transport d'opérations spéciales 3/61 Poitou. L'unité avions du commandement des opérations spéciales sort d'une période complexe, faite de faible disponibilité de son ATA majeur, le C130H Hercules. Face à tant d'immobilisme, le major général de l'Armée de l'Air, le général Dominique Tardif, a sorti la tronçonneuse : exit les C130H d'ici 2029 (idem pour les Awacs qui coûtent trop cher à entretenir). A la place, plus d'A400M, mais aussi des A400M augmentés, hyper-connectés grâce notamment aux différents modules du SCAF, mais pas seulement. Il est sera possible de voler très longtemps, grâce au ravitaillement en vol réalisable par... un autre A400M !
Airbus boit du petit lait, en visualisant les projets de l'Armée de l'Air, qu'il a évidemment aussi un peu stimulée. Car les drones pourront être des dérivés des DT-46 qui ont déjà fait des essais avec un A400M de la Luftwaffe en 2022, mais aussi des Loyal Wingmen par MBDA. Et une vidéo montre même un missile de croisière éjecté depuis la soute d'un appareil. Un concept facile à mettre en oevure, qui avait en fait été imaginé par un très imaginatif commandant des forces spéciales-air.
Face à son problème de masse, l'armée de l'air et de l'espace mobilise ses A400M. L'occasion d'en gagner encore plus.
L'Armée de l'Air et de l'Espace a présenté aujourd'hui son exercice Tarans, visant à préparer à la haute intensité la BAAP, qui détient essentiellement les avions de transport (tactique et d'assaut) et les hélicoptères.
L'occasion de rappeler le volume des soutes des avions de transport et d'assaut, qui vont, prochainement, avoir la possibilité d'emporter des disperseurs de drones -près d'une quarantaine de 20 kg- et de munitions télé-opérées. Une augmentation qui va contribuer à ramener l'avantage dans le camp des alliés. Car ainsi gréé, un Atlas pourra contribuer encore plus à la manoeuvre aéroterrestre, qu'il pourra filmer grâce au concept C3ISTAR développé par l'Escadron de transport d'opérations spéciales 3/61 Poitou. L'unité avions du commandement des opérations spéciales sort d'une période complexe, faite de faible disponibilité de son ATA majeur, le C130H Hercules. Face à tant d'immobilisme, le major général de l'Armée de l'Air, le général Dominique Tardif, a sorti la tronçonneuse : exit les C130H d'ici 2029 (idem pour les Awacs qui coûtent trop cher à entretenir). A la place, plus d'A400M, mais aussi des A400M augmentés, hyper-connectés grâce notamment aux différents modules du SCAF, mais pas seulement. Il est sera possible de voler très longtemps, grâce au ravitaillement en vol réalisable par... un autre A400M !
Airbus boit du petit lait, en visualisant les projets de l'Armée de l'Air, qu'il a évidemment aussi un peu stimulée. Car les drones pourront être des dérivés des DT-46 qui ont déjà fait des essais avec un A400M de la Luftwaffe en 2022, mais aussi des Loyal Wingmen par MBDA. Et une vidéo montre même un missile de croisière éjecté depuis la soute d'un appareil. Un concept facile à mettre en oevure, qui avait en fait été imaginé par un très imaginatif commandant des forces spéciales-air.
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