La start-up française de service en orbite continue son expansion. A l’occasion du sommet Choose France, elle vient d’annoncer une levée de fonds de 40 millions d’euros, quelques jours après un contrat crucial avec SES.
Les premiers pas en orbite géostationnaires d’Infinite Orbits semblent porter leurs fruits. Le 5 mai 2023, décollait le démonstrateur G-Space 1, directement mis en orbite géostationnaire par Falcon Heavy (en passager secondaire), et avec à bord une charge utile d’Infinite Orbits. Aujourd’hui, la start-up fondée en 2017 dispose d’un portefeuille de 150 M€ de contrats commerciaux sur les trois ans à venir.
A l’occasion du sommet Choose France organisé par l’Elysée, Infinite Orbite a annoncé une levée de fonds impressionnante de 40 millions d’euros, soutenue notamment par le fonds du Conseil Européen de l’Innovation (EIC). La start-up française compte d’ailleurs étendre son empreinte en Europe avec l’ouverture de locaux en Allemagne, au Royaume-Uni, en Pologne, en Espagne et au Luxembourg. La levée de fonds permettra surtout de consolider la flotte satellite de service en orbite. Parmi les services proposés par Infinite Orbits, l’inspection satellite, un usage dual qui intéresse fortement le ministère des Armées.
La semaine dernière, en marge de la visite présidentielle du centre des opérations du Commandement de l’Espace, Infinite Orbits a annoncé un contrat avec l’opérateur SES pour la prolongation de la vie d’un de leurs satellite. L’opération sera menée grâce au véhicule Endurance, une plateforme orbitale de 750 kg qui s’amarrera au satellite de télécommunication en orbite géostationnaire. Cela permettra à Infinite Orbits de prolonger de cinq ans la vie du satellite. Ce service nous rappelle les deux missions de la plateforme orbitale MEV de Northrop Grumman, lancée en 2020 et 2021, qui se sont amarrées à deux satellites d’Intelsat.
La start-up française de service en orbite continue son expansion. A l’occasion du sommet Choose France, elle vient d’annoncer une levée de fonds de 40 millions d’euros, quelques jours après un contrat crucial avec SES.
Les premiers pas en orbite géostationnaires d’Infinite Orbits semblent porter leurs fruits. Le 5 mai 2023, décollait le démonstrateur G-Space 1, directement mis en orbite géostationnaire par Falcon Heavy (en passager secondaire), et avec à bord une charge utile d’Infinite Orbits. Aujourd’hui, la start-up fondée en 2017 dispose d’un portefeuille de 150 M€ de contrats commerciaux sur les trois ans à venir.
A l’occasion du sommet Choose France organisé par l’Elysée, Infinite Orbite a annoncé une levée de fonds impressionnante de 40 millions d’euros, soutenue notamment par le fonds du Conseil Européen de l’Innovation (EIC). La start-up française compte d’ailleurs étendre son empreinte en Europe avec l’ouverture de locaux en Allemagne, au Royaume-Uni, en Pologne, en Espagne et au Luxembourg. La levée de fonds permettra surtout de consolider la flotte satellite de service en orbite. Parmi les services proposés par Infinite Orbits, l’inspection satellite, un usage dual qui intéresse fortement le ministère des Armées.
La semaine dernière, en marge de la visite présidentielle du centre des opérations du Commandement de l’Espace, Infinite Orbits a annoncé un contrat avec l’opérateur SES pour la prolongation de la vie d’un de leurs satellite. L’opération sera menée grâce au véhicule Endurance, une plateforme orbitale de 750 kg qui s’amarrera au satellite de télécommunication en orbite géostationnaire. Cela permettra à Infinite Orbits de prolonger de cinq ans la vie du satellite. Ce service nous rappelle les deux missions de la plateforme orbitale MEV de Northrop Grumman, lancée en 2020 et 2021, qui se sont amarrées à deux satellites d’Intelsat.
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