L'US Air Force a annoncé que Boeing avait remporté un contrat portant sur la conception, la construction et la livraison de son avion de combat de nouvelle génération. Il aura fallu cinq années d'essais et autres tests confidentiels, pour ce qui se nomme désormais le F-47. La plateforme NGAD (Next-Generation Air Dominance) inaugurera une nouvelle génération d'avions de combat américains, soit la sixième dont le F-47 sera le premier aéronef piloté. L'appareil apportera une capacité de pointe en termes de portée, de survivabilité, de létalité et d'adaptabilité. La plateforme NGAD est le nœud central de la famille de systèmes NGAD.
L'US Air Force a annoncé que Boeing avait remporté un contrat portant sur la conception, la construction et la livraison de son avion de combat de nouvelle génération. Il aura fallu cinq années d'essais et autres tests confidentiels, pour ce qui se nomme désormais le F-47. La plateforme NGAD (Next-Generation Air Dominance) inaugurera une nouvelle génération d'avions de combat américains, soit la sixième dont le F-47 sera le premier aéronef piloté. L'appareil apportera une capacité de pointe en termes de portée, de survivabilité, de létalité et d'adaptabilité. La plateforme NGAD est le nœud central de la famille de systèmes NGAD.
Pour Boeing, cette sélection par l'administration Trump du F-47 est quasiment une questuin de survie et c'est un message très clair envoyé à Lockheed Martin qui avait quasiment le monopole depuis les années 1980. En dépit des déboires récents de Boeing dans les domaines spatiaux, des avions commerciaux, sans parler des contrats perdus au cours des derniers concours militaires. c'est sans doute le début d'une renaissance tant attendue.
Boeing avait perdu face au JSF avec son X-32, cela ne laissait au constructeur aéronautique que le F-15 et le F-18, deux vieux avions conçus dans les années 1970, qui ne seront plus crédibles d'ici quelques années face aux nouveaux appareils chinois ou russes. Sur le marché des avions de combat, d'autres pays ambitionnent de développer leur propre industrie, tels le Japon, la Turquie, l'Inde, sans parler de La France, de l'Allemagne et du Royaume-Uni.
Le JSF, avion de cinquième génération qui s'est particulièrement bien vendu, reste perclus de problèmes et dont la conception remonte malgré tout au années 90. Il n'est pas certain que son avantage en termes de furtivité et de supériorité aérienne puisse être maintenu. En face côté russe et chinois, on se dote de nouveaux avions de combat de cinquième génération mais on envisage également des drones et des bombardiers furtifs de nouvelle génération. La doctrine américaine veut que l'US Air Force garde une avance de 20 à 25 ans sur la menace potentielle, ce qui veut dire que l'Amérique veut garder la supériorité aérienne en tous lieux et tous temps, outre le fait que les appareils devront être capables de déjouer les systèmes de défense aérienne adverses, de remplir leur mission même en présence d'avions de combat de dernière génération, tels que HK9 chinois, S500 russe pour ne citer qu'eux.
L'avion devra être non seulement hautement furtif mais également agile et rapide. Il devra en outre avoir une autonomie conséquente -à l'inverse du F-22 dont cette dernière est restreinte-. Le F-47 devra en conséquence être capable d'aller vite (il est annoncé pour Mach 2 +), haut et loin, une équation dont la solution est encore inconnue. Comme les avions de cinquième génération, les armements seront disposés en soute. Reste à savoir si cet appareil affichera des performances inégalées ainsi qu'annoncé par Boeing. La question de l'architecture du système d'armes reste également en suspens, à savoir quel type de radar, quel type d'antenne et quels types de munitions. Outre le fait de la possibilité de réaliser des missions en mode furtif tout en continuant à échanger avec les autres aéronefs et centres de commandement distants. Il devra également pouvoir être capable d'opérer en ambiance de guerre électronique sévère, telle que rencontrée en Ukraine actuellement. Avec un brouillage des fréquences radio, radar et GPS. La technologie des moteurs est encore une autre question, puisque la logique voudrait que les turboréacteurs adoptés soient des moteurs à cycle variable, ce sur quoi les motoristes nord-américains planchent depuis une dizaine d'années au moins.
Pour le moment, Northrop Grumman reste focalisé sur le bombardier de sixième génération B-21, capable d'opérer en tous temps et tout lieux. Côté tactique, le F-47 sera présent. Lockheed continuera à équiper pendant quelques décennies l'USAF et l'US Navy avec ses F-35. Le F-47 sera-t-il le dernier des avions pilotés, à l'heure ou de plus en plus de pays s'intéressent au tandem avion piloté-avion non piloté ? La question mérite d'être posée. En tout cas, il est destiné à opérer avec des drones et fera usage de l'intelligence artificielle. Reste qu'il est très probable que les américains aient réalisé des percées technologiques aussi bien dans le domaine de la furtivité qu'aérodynamique, de matériaux et de structures. En termes de calendrier, rien n'a été avancé pour le moment sauf que le F-47 devrait être finalisé et voler sous le mandat du président Trump, lequel se finira en 2028. Les deux priorités seront de remplacer les F-15, structurellement fatigués et les F-22, qui commencent à accuser leur âge et dont la maintenance commence à devenir compliquée.
L'US Air Force a annoncé que Boeing avait remporté un contrat portant sur la conception, la construction et la livraison de son avion de combat de nouvelle génération. Il aura fallu cinq années d'essais et autres tests confidentiels, pour ce qui se nomme désormais le F-47. La plateforme NGAD (Next-Generation Air Dominance) inaugurera une nouvelle génération d'avions de combat américains, soit la sixième dont le F-47 sera le premier aéronef piloté. L'appareil apportera une capacité de pointe en termes de portée, de survivabilité, de létalité et d'adaptabilité. La plateforme NGAD est le nœud central de la famille de systèmes NGAD.
L'US Air Force a annoncé que Boeing avait remporté un contrat portant sur la conception, la construction et la livraison de son avion de combat de nouvelle génération. Il aura fallu cinq années d'essais et autres tests confidentiels, pour ce qui se nomme désormais le F-47. La plateforme NGAD (Next-Generation Air Dominance) inaugurera une nouvelle génération d'avions de combat américains, soit la sixième dont le F-47 sera le premier aéronef piloté. L'appareil apportera une capacité de pointe en termes de portée, de survivabilité, de létalité et d'adaptabilité. La plateforme NGAD est le nœud central de la famille de systèmes NGAD.
Pour Boeing, cette sélection par l'administration Trump du F-47 est quasiment une questuin de survie et c'est un message très clair envoyé à Lockheed Martin qui avait quasiment le monopole depuis les années 1980. En dépit des déboires récents de Boeing dans les domaines spatiaux, des avions commerciaux, sans parler des contrats perdus au cours des derniers concours militaires. c'est sans doute le début d'une renaissance tant attendue.
Boeing avait perdu face au JSF avec son X-32, cela ne laissait au constructeur aéronautique que le F-15 et le F-18, deux vieux avions conçus dans les années 1970, qui ne seront plus crédibles d'ici quelques années face aux nouveaux appareils chinois ou russes. Sur le marché des avions de combat, d'autres pays ambitionnent de développer leur propre industrie, tels le Japon, la Turquie, l'Inde, sans parler de La France, de l'Allemagne et du Royaume-Uni.
Le JSF, avion de cinquième génération qui s'est particulièrement bien vendu, reste perclus de problèmes et dont la conception remonte malgré tout au années 90. Il n'est pas certain que son avantage en termes de furtivité et de supériorité aérienne puisse être maintenu. En face côté russe et chinois, on se dote de nouveaux avions de combat de cinquième génération mais on envisage également des drones et des bombardiers furtifs de nouvelle génération. La doctrine américaine veut que l'US Air Force garde une avance de 20 à 25 ans sur la menace potentielle, ce qui veut dire que l'Amérique veut garder la supériorité aérienne en tous lieux et tous temps, outre le fait que les appareils devront être capables de déjouer les systèmes de défense aérienne adverses, de remplir leur mission même en présence d'avions de combat de dernière génération, tels que HK9 chinois, S500 russe pour ne citer qu'eux.
L'avion devra être non seulement hautement furtif mais également agile et rapide. Il devra en outre avoir une autonomie conséquente -à l'inverse du F-22 dont cette dernière est restreinte-. Le F-47 devra en conséquence être capable d'aller vite (il est annoncé pour Mach 2 +), haut et loin, une équation dont la solution est encore inconnue. Comme les avions de cinquième génération, les armements seront disposés en soute. Reste à savoir si cet appareil affichera des performances inégalées ainsi qu'annoncé par Boeing. La question de l'architecture du système d'armes reste également en suspens, à savoir quel type de radar, quel type d'antenne et quels types de munitions. Outre le fait de la possibilité de réaliser des missions en mode furtif tout en continuant à échanger avec les autres aéronefs et centres de commandement distants. Il devra également pouvoir être capable d'opérer en ambiance de guerre électronique sévère, telle que rencontrée en Ukraine actuellement. Avec un brouillage des fréquences radio, radar et GPS. La technologie des moteurs est encore une autre question, puisque la logique voudrait que les turboréacteurs adoptés soient des moteurs à cycle variable, ce sur quoi les motoristes nord-américains planchent depuis une dizaine d'années au moins.
Pour le moment, Northrop Grumman reste focalisé sur le bombardier de sixième génération B-21, capable d'opérer en tous temps et tout lieux. Côté tactique, le F-47 sera présent. Lockheed continuera à équiper pendant quelques décennies l'USAF et l'US Navy avec ses F-35. Le F-47 sera-t-il le dernier des avions pilotés, à l'heure ou de plus en plus de pays s'intéressent au tandem avion piloté-avion non piloté ? La question mérite d'être posée. En tout cas, il est destiné à opérer avec des drones et fera usage de l'intelligence artificielle. Reste qu'il est très probable que les américains aient réalisé des percées technologiques aussi bien dans le domaine de la furtivité qu'aérodynamique, de matériaux et de structures. En termes de calendrier, rien n'a été avancé pour le moment sauf que le F-47 devrait être finalisé et voler sous le mandat du président Trump, lequel se finira en 2028. Les deux priorités seront de remplacer les F-15, structurellement fatigués et les F-22, qui commencent à accuser leur âge et dont la maintenance commence à devenir compliquée.
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