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Après trois jours de reports dus à de violents vents contraires, le nouveau microlanceur Electron s’est envolé hier depuis la Nouvelle-Zélande, avec un satellite factice. S’il n’a pas réussi sa mise sur orbite, la satisfaction est au rendez-vous.
« It’s a Test » (C’est un essai) : tel était le nom de la charge utile (inerte) du premier vol du microlanceur Electron, développé en seulement quatre ans par la société privée Rocket Lab (créée en 2006), et mis en œuvre pour la première fois depuis la base aménagée sur la péninsule
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Après trois jours de reports dus à de violents vents contraires, le nouveau microlanceur Electron s’est envolé hier depuis la Nouvelle-Zélande, avec un satellite factice. S’il n’a pas réussi sa mise sur orbite, la satisfaction est au rendez-vous.
« It’s a Test » (C’est un essai) : tel était le nom de la charge utile (inerte) du premier vol du microlanceur Electron, développé en seulement quatre ans par la société privée Rocket Lab (créée en 2006), et mis en œuvre pour la première fois depuis la base aménagée sur la péninsule de Mahia, sur la côté Est de l’île du Nord
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