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Pour la mobilité des futurs avions à hydrogène, des composites à haute performance deviendront indispensables notamment pour contenir et canaliser l’hydrogène liquide à très basse température.
Patrick Gandil, alors directeur général de l'aviation civile (DGAC), soulignait que « le cœur d’un réacteur d'avion, c'est une turbine à gaz », dans laquelle est consommé du kérosène vaporisé. Selon lui, y brûler de l'hydrogène est envisageable après de substantielles modifications. Comme d’autres constructeurs, Pratt & Whitney
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Pour la mobilité des futurs avions à hydrogène, des composites à haute performance deviendront indispensables notamment pour contenir et canaliser l’hydrogène liquide à très basse température.
Patrick Gandil, alors directeur général de l'aviation civile (DGAC), soulignait que « le cœur d’un réacteur d'avion, c'est une turbine à gaz », dans laquelle est consommé du kérosène vaporisé. Selon lui, y brûler de l'hydrogène est envisageable après de substantielles modifications. Comme d’autres constructeurs, Pratt & Whitney envisage un moteur pour l’aviation commerciale alimenté avec ce futur
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