L'hélicoptériste veut pousser la collaboration hélicoptère-drone. Une vraie bonne idée défendue par Bruno Even.
Depuis que Surveycopter avait rejoint Airbus, la PME de Pierrelatte vivotait, tout en vendant quelques systèmes Aliaca, surtout à la marine, qui, aujourd'hui, regrette son choix. Car depuis, la PME a considérablement étoffé sa gamme, avec de l'électrique, du VTOL (ADAV, aéronef à décollage et atterrissage verticaux), du plus endurant, et, surtout, du plus gros : Capa X pour le programme SDTL ou système de drone tactique léger, un engin qui a encore besoin de fiabilisation. Mais Airbus Helicopters est manifestement sans la moindre inquiétude sur la capacité de sa nouvelle filiale à redresser le cap.
Car désormais, c'est bien la société dirigée par Bruno Even qui donne l'impulsion à Surveycopter, avec aussi un nouveau pilote pour tous les drones tactiques de l'hélicoptériste, Victor Guérin-Roze. Avec son système de connectivité Hteaming, ses hélicoptères et une gamme de drones tactiques étendue, avec la force commerciale et industrielle de la société, Airbus Helicopters dispose du carré magique dont rêvaient les opérationnels depuis longtemps. Ce sera pour ses filiales Surveycopter et Flextorotor un accélérateur de ventes. Le Flexrotor est certes américain, mais désormais avec un actionnaire français, et il a des atouts à défendre en mer et à terre. Le cas échéant, il peut même se transformer en kamikaze.
On peut penser qu'Airbus Helicopters va peut-être continuer son marché avec d'autres PME et strartups, dans la dronerie française et internationale, les sociétés à prendre sont légion. Surtout avec des capacités d'armement et de charge supérieure à ce dont Airbus Helicopters dispose déjà. Victor Guérin-Roze assure que pour l'instant, ces rachats sont « suffisants » pour amener des issues commerciales et techniques. Car l'hélicoptériste a d'ailleurs déjà lui-même résolu le problème, en commençant à droniser ses propres engins. Au risque néanmoins de se faire dépasser par d'autres acteurs qui pourraient droniser ses propres engins (étrange même que ce ne soit pas déjà le cas...).
Clairement, Airbus Helicopters est l'entité militaire la plus agile du groupe aujourd'hui, et le démontre désormais au quotidien, avec de nouvelles solutions techniques manifestement alimentées par les retours d'expérience collectés à la bouche des opérationnels depuis quatre ans par le conseiller militaire du PDG, le général Patrick Brethous, ancien pilote d'hélicoptères des forces spéciales, et ancien commandant des forces spéciales Terre, sous-chef opérations de l'EMAT et commandant de l'opération Barkhane.
L'hélicoptériste veut pousser la collaboration hélicoptère-drone. Une vraie bonne idée défendue par Bruno Even.
Depuis que Surveycopter avait rejoint Airbus, la PME de Pierrelatte vivotait, tout en vendant quelques systèmes Aliaca, surtout à la marine, qui, aujourd'hui, regrette son choix. Car depuis, la PME a considérablement étoffé sa gamme, avec de l'électrique, du VTOL (ADAV, aéronef à décollage et atterrissage verticaux), du plus endurant, et, surtout, du plus gros : Capa X pour le programme SDTL ou système de drone tactique léger, un engin qui a encore besoin de fiabilisation. Mais Airbus Helicopters est manifestement sans la moindre inquiétude sur la capacité de sa nouvelle filiale à redresser le cap.
Car désormais, c'est bien la société dirigée par Bruno Even qui donne l'impulsion à Surveycopter, avec aussi un nouveau pilote pour tous les drones tactiques de l'hélicoptériste, Victor Guérin-Roze. Avec son système de connectivité Hteaming, ses hélicoptères et une gamme de drones tactiques étendue, avec la force commerciale et industrielle de la société, Airbus Helicopters dispose du carré magique dont rêvaient les opérationnels depuis longtemps. Ce sera pour ses filiales Surveycopter et Flextorotor un accélérateur de ventes. Le Flexrotor est certes américain, mais désormais avec un actionnaire français, et il a des atouts à défendre en mer et à terre. Le cas échéant, il peut même se transformer en kamikaze.
On peut penser qu'Airbus Helicopters va peut-être continuer son marché avec d'autres PME et strartups, dans la dronerie française et internationale, les sociétés à prendre sont légion. Surtout avec des capacités d'armement et de charge supérieure à ce dont Airbus Helicopters dispose déjà. Victor Guérin-Roze assure que pour l'instant, ces rachats sont « suffisants » pour amener des issues commerciales et techniques. Car l'hélicoptériste a d'ailleurs déjà lui-même résolu le problème, en commençant à droniser ses propres engins. Au risque néanmoins de se faire dépasser par d'autres acteurs qui pourraient droniser ses propres engins (étrange même que ce ne soit pas déjà le cas...).
Clairement, Airbus Helicopters est l'entité militaire la plus agile du groupe aujourd'hui, et le démontre désormais au quotidien, avec de nouvelles solutions techniques manifestement alimentées par les retours d'expérience collectés à la bouche des opérationnels depuis quatre ans par le conseiller militaire du PDG, le général Patrick Brethous, ancien pilote d'hélicoptères des forces spéciales, et ancien commandant des forces spéciales Terre, sous-chef opérations de l'EMAT et commandant de l'opération Barkhane.
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