Réservé aux abonnés
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
Lire aussi
La compagnie éthiopienne, qui s'est lancée depuis une quinzaine d'années dans une politique de partenariats locaux avec des compagnies africaines pour alimenter son hub d'Addis-Abeba, a d'abord été concurrencée par EgyptAir, doit subir à présent une très forte offensive des compagnies du Golfe, notamment Qatar Airways et Emirates.
Le transport aérien africain est un paradoxe. Bien que la population totale du continent représente plus de 17 % de la population mondiale, le transport aérien africain ne représente que 3,1 % de l'ensemble du trafic aérien mondial. C'est dire que, à part pour des acteurs comme Ethiopian Airlines, South
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte
La compagnie éthiopienne, qui s'est lancée depuis une quinzaine d'années dans une politique de partenariats locaux avec des compagnies africaines pour alimenter son hub d'Addis-Abeba, a d'abord été concurrencée par EgyptAir, doit subir à présent une très forte offensive des compagnies du Golfe, notamment Qatar Airways et Emirates.
Le transport aérien africain est un paradoxe. Bien que la population totale du continent représente plus de 17 % de la population mondiale, le transport aérien africain ne représente que 3,1 % de l'ensemble du trafic aérien mondial. C'est dire que, à part pour des acteurs comme Ethiopian Airlines, South African Airways, EgyptAir et Royal Air Maroc, la connectivité aérienne
La suite de cet article est reservé aux abonnés d’Air&Cosmos.
Votre soutien nous permet de vous apporter quotidiennement des informations qualitatives et complètes.
Rejoignez-nous !
Déjà abonné ? Je me connecte