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publié le 11 janvier 2024 à 16:00
397 mots
Depuis presque huit ans, l’Arabie saoudite manifestait sa volonté d’acheter une nouvelle fournée de 48 Eurofighter, après un deal fructueux passé entre 2008 et 2017. L’Allemagne, inquiète de l’action militaire de la monarchie au Yémen, s’opposait jusqu’alors à la vente. Mais face à la résurgence des tensions et la menace représentée par les Houthis dans le sud de la péninsule, le ministère des Affaires étrangères allemand a décidé de lever son veto.
Alors que l'Arabie saoudite souhaite renforcer ses capacités aériennes en achetant plusieurs dizaines d'Eurofighter Typhoon, l'Allemagne bloquait une éventuelle nouvelle vente entre la monarchie arabique et les avionneurs européens, craignant qu'ils ne soient utilisés au Yémen. Pourtant, dans un communiqué relayé dans la presse nationale le 8 janvier, la ministre
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Depuis presque huit ans, l’Arabie saoudite manifestait sa volonté d’acheter une nouvelle fournée de 48 Eurofighter, après un deal fructueux passé entre 2008 et 2017. L’Allemagne, inquiète de l’action militaire de la monarchie au Yémen, s’opposait jusqu’alors à la vente. Mais face à la résurgence des tensions et la menace représentée par les Houthis dans le sud de la péninsule, le ministère des Affaires étrangères allemand a décidé de lever son veto.
Alors que l'Arabie saoudite souhaite renforcer ses capacités aériennes en achetant plusieurs dizaines d'Eurofighter Typhoon, l'Allemagne bloquait une éventuelle nouvelle vente entre la monarchie arabique et les avionneurs européens, craignant qu'ils ne soient utilisés au Yémen. Pourtant, dans un communiqué relayé dans la presse nationale le 8 janvier, la ministre des Affaires étrangères allemande Annalena Baerbock annonçait la levée du
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