Depuis le 27 février, l’astronaute Thomas Pesquet puise dans ses archives des clichés de la Terre inédits, pris depuis la Station spatiale internationale. Ici l’aéroport de Madrid, en Espagne.
En décembre 2015, à l’occasion de la mission Principia de l’astronaute britannique Tim Peake, Air & Cosmos proposait un dossier complet sur la Station spatiale internationale, alors occupée en permanence depuis 15 ans.
Depuis le 27 février, l’astronaute Thomas Pesquet puise dans ses archives des clichés de la Terre inédits, pris depuis la Station spatiale internationale. Ici Turin, en Italie.
Depuis le 27 février, l’astronaute Thomas Pesquet puise dans ses archives des clichés de la Terre inédits, pris depuis la Station spatiale internationale. Ici, Patnos en Turquie.
Pour accompagner son entraînement pour un nouveau vol orbital, l’astronaute Thomas Pesquet puise dans ses archives des clichés de la Terre inédits. Ici Toulouse, capitale de l’Occitanie.
Pour accompagner son entraînement pour un nouveau vol orbital, l’astronaute Thomas Pesquet puise dans ses archives des clichés de la Terre inédits. Ici, l’une des plus célèbres presqu’îles artificielles de Dubaï.
Annonçant son second vol spatial au deuxième semestre 2021 et pour se motiver, l’astronaute Thomas Pesquet a prévu de poster 200 clichés de la Terre inédits, extraits de ses archives. Il a commencé par les Bahamas.
Avec une sixième sortie en scaphandre réalisée le 25 janvier à l’extérieur de la Station spatiale internationale, l’astronaute italien Luca Parmitano cumule 33 heures et 9 minutes de marche dans le vide.
La capsule de Boeing tant attendue ne rejoindra pas la Station spatiale internationale comme prévu. Elle devrait malgré tout rentrer sur Terre après deux jours de vol.