Une étude d’un an, présentée le 16 juin à la conférence Global Space Exploration de Saint-Pétersbourg, démontre que le futur lanceur lourd européen pourrait garantir à l’Europe un accès autonome aux vols habités.
Un savoir-faire européen
On se souvient que le lanceur Ariane 5 avait été développé dans l’optique de faire également du vol habité, en emportant à son sommet l’avion spatial européen Hermes. Bientôt 30 ans après l’abandon de ce dernier et tandis que de nombreuses voix regrettent que l’Europe reste dépendante d’autres puissances spatiales
Cet article est réservé aux abonnés numérique Web.