Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 13 mai, la startup californienne Varda Space Industries a récupéré en Australie sa capsule technologique W-3, après un séjour d’un peu plus de huit semaines sur orbite basse.
La startup Varda Space Industries, fondée en 2021 à El Segundo, est spécialisée dans la fabrication, la mise sur orbite et la récupération de plateformes orbitales commerciales, dans l’objectif de produire en micropesanteur des biens à haute valeur ajoutée difficiles à produire sur Terre.
Varda Space avait lancé en juin 2023 sa première capsule récupérable, Winnebago 1 (W-1), à l’occasion de la mission partagée Transporter 8 de SpaceX ; le retour, retardé pour des raisons administratives, avait eu lieu en février suivant dans le désert de l’Utah, aux Etats-Unis.
La deuxième capsule de Varda Space, W-2, suivit en janvier dernier (lancée sur Transporter 12), et fut récupérée six semaines plus tard dans le sud de l’Australie.
A son tour, W-3 a été placée sur orbite basse le 14 mars dernier (avec Transporter 13), avant d’être également récupérée le 13 mai en Australie méridionale.
Elle apparaît ici après son atterrissage en douceur, entourée de broussailles et son parachute encore déployé à l’arrière-plan, au milieu du site d’essais de Koonibba Test Range.
Si la première capsule de Varda Space avait comme objectif la fabrication de produits pharmaceutiques en micropesanteur, les deux suivantes ont été menées tout ou partie pour le compte de l’armée de l’Air américaine.
Ainsi, W-2 embarquait-elle en plus d’un réacteur pharmaceutique maison amélioré un spectromètre du laboratoire de recherche de l'armée de l'air AFRL (Air Force Research Laboratory).
La mission a par ailleurs collecté des données critiques pour le développement de technologies hypersoniques, le retour atmosphérique de la capsule s’effectuant à Mach 25.
Avec W-3, c’est une unité de mesure inertielle avancée de l'US Air Force et de la société ISSI (Innovative Scientific Solutions, Inc.) qui a été testée, puis a permis d’approfondir la compréhension scientifique de l'environnement de rentrée hypersonique.
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 13 mai, la startup californienne Varda Space Industries a récupéré en Australie sa capsule technologique W-3, après un séjour d’un peu plus de huit semaines sur orbite basse.
La startup Varda Space Industries, fondée en 2021 à El Segundo, est spécialisée dans la fabrication, la mise sur orbite et la récupération de plateformes orbitales commerciales, dans l’objectif de produire en micropesanteur des biens à haute valeur ajoutée difficiles à produire sur Terre.
Varda Space avait lancé en juin 2023 sa première capsule récupérable, Winnebago 1 (W-1), à l’occasion de la mission partagée Transporter 8 de SpaceX ; le retour, retardé pour des raisons administratives, avait eu lieu en février suivant dans le désert de l’Utah, aux Etats-Unis.
La deuxième capsule de Varda Space, W-2, suivit en janvier dernier (lancée sur Transporter 12), et fut récupérée six semaines plus tard dans le sud de l’Australie.
A son tour, W-3 a été placée sur orbite basse le 14 mars dernier (avec Transporter 13), avant d’être également récupérée le 13 mai en Australie méridionale.
Elle apparaît ici après son atterrissage en douceur, entourée de broussailles et son parachute encore déployé à l’arrière-plan, au milieu du site d’essais de Koonibba Test Range.
Si la première capsule de Varda Space avait comme objectif la fabrication de produits pharmaceutiques en micropesanteur, les deux suivantes ont été menées tout ou partie pour le compte de l’armée de l’Air américaine.
Ainsi, W-2 embarquait-elle en plus d’un réacteur pharmaceutique maison amélioré un spectromètre du laboratoire de recherche de l'armée de l'air AFRL (Air Force Research Laboratory).
La mission a par ailleurs collecté des données critiques pour le développement de technologies hypersoniques, le retour atmosphérique de la capsule s’effectuant à Mach 25.
Avec W-3, c’est une unité de mesure inertielle avancée de l'US Air Force et de la société ISSI (Innovative Scientific Solutions, Inc.) qui a été testée, puis a permis d’approfondir la compréhension scientifique de l'environnement de rentrée hypersonique.
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