Une défaillance majeure sur un sous-marin nucléaire de la Royal Navy a presque provoqué la mort de 140 membres d'équipage. Une sonde de profondeur défectueuse a fait plonger le sous-marin dans une «zone dangereuse», un incident qui aurait déclenché une mission de récupération des débris du sous-marin et de son réacteur nucléaire.
Un sous-marin nucléaire lanceur d'engins de la Royal Navy a frôlé une catastrophe majeure sur un défaut d'instrument de mesure de la profondeur, laissant le navire s'enfoncer au-delà de la zone de danger et mettant en péril les 140 membres d'équipage. Se préparant à sa mission de patrouille, les instruments indiquant la profondeur du sous-marin se sont arrêtés, amenant les commandants à croire que le sous-marin était stabilisé alors qu'en réalité, il continuait de descendre en profondeur. Des ingénieurs ont finalement remarqué l'anomalie grâce à un second compteur de profondeur et ont sonné l'alarme.
Une enquête urgente sur la sécurité a été lancée suite à cet incident, mais les initiés ont insisté sur le fait que cela n'avait pas interrompu la capacité de dissuasion nucléaire du Royaume-Uni. Au moins un sous-marin de la Royal Navy armé de missiles nucléaires est en patrouille en continu depuis 1969 en préparation d'une éventuelle attaque. Toutefois, l'un de ces sous-marins subit une révision majeure et l'autre est en cours d'essais en mer après des réparations qui ont coûté £300 millions de plus que prévu.
La Royal Navy s'est abstenue de commenter l'incident, se contentant de déclarer que la sécurité était sa priorité absolue et que ses sous-marins continuaient à être déployés à travers le monde pour protéger les intérêts nationaux. Un incident similaire a eu lieu plus tôt cette année lorsque des techniciens ont utilisé de la colle pour réparer des boulons censés maintenir l'isolation autour des tuyaux de refroidissement du réacteur nucléaire sur un sous-marin de classe Vanguard.
Une défaillance majeure sur un sous-marin nucléaire de la Royal Navy a presque provoqué la mort de 140 membres d'équipage. Une sonde de profondeur défectueuse a fait plonger le sous-marin dans une «zone dangereuse», un incident qui aurait déclenché une mission de récupération des débris du sous-marin et de son réacteur nucléaire.
Un sous-marin nucléaire lanceur d'engins de la Royal Navy a frôlé une catastrophe majeure sur un défaut d'instrument de mesure de la profondeur, laissant le navire s'enfoncer au-delà de la zone de danger et mettant en péril les 140 membres d'équipage. Se préparant à sa mission de patrouille, les instruments indiquant la profondeur du sous-marin se sont arrêtés, amenant les commandants à croire que le sous-marin était stabilisé alors qu'en réalité, il continuait de descendre en profondeur. Des ingénieurs ont finalement remarqué l'anomalie grâce à un second compteur de profondeur et ont sonné l'alarme.
Une enquête urgente sur la sécurité a été lancée suite à cet incident, mais les initiés ont insisté sur le fait que cela n'avait pas interrompu la capacité de dissuasion nucléaire du Royaume-Uni. Au moins un sous-marin de la Royal Navy armé de missiles nucléaires est en patrouille en continu depuis 1969 en préparation d'une éventuelle attaque. Toutefois, l'un de ces sous-marins subit une révision majeure et l'autre est en cours d'essais en mer après des réparations qui ont coûté £300 millions de plus que prévu.
La Royal Navy s'est abstenue de commenter l'incident, se contentant de déclarer que la sécurité était sa priorité absolue et que ses sous-marins continuaient à être déployés à travers le monde pour protéger les intérêts nationaux. Un incident similaire a eu lieu plus tôt cette année lorsque des techniciens ont utilisé de la colle pour réparer des boulons censés maintenir l'isolation autour des tuyaux de refroidissement du réacteur nucléaire sur un sous-marin de classe Vanguard.
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