La semaine dernière, l'Armée belge s'est entrainée au déploiement de sa capacité aéroportée en milieu urbain. L'exercice, baptisé Nemesis, comportait plusieurs opérations, en ce compris, des opérations de parachutage, d'assaut ou encore de libération d'otages. Des parachutistes français ont également participé à l'exercice afin de confirmer l'interopérabilité entre les deux unités parachutistes.
Du 20 au 22 avril, le 2ème Bataillon Commando belge, accompagné par des parachutistes français du 8ème Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine (RPIMA) se sont entrainés à de multiples opérations dans le cadre de l'exercice Nemesis.
L'exercice s'est étendu sur plusieurs zones en Belgique, avec des opérations que les Commandos pourraient rencontrer lors de futurs déploiements :
Le but de cet exercice était double :
La Composante Terre dispose de deux bataillons de para-commandos. Ces derniers représentent la principale force d'action déployable en urgence pour la Belgique. Ces deux unités légères privilégient les modes d'action aéroportés ou d'assaut via les A400M. Le caractère léger implique un mode d'action rapide au détriment de la mobilité de théâtre et de la durée de l'action. Avec les forces spéciales belges (Special Forces), ils composaient la Brigade Légère.
Toutefois, l'accroissement des menaces hybrides montre une augmentation des opérations des forces spéciales belges, qui deviennent de plus en plus complexes et demandent donc plus de moyens. Dès lors, la Défense belge a décidé de restructurer la manière de penser les opérations spéciales. Cette décision se confirme en 2018 lorsque la Brigade Légère est renommée en Special Operation Regiment (SOR) :
La Belgique détient, depuis cette restructuration, une capacité militaire de déploiement rapide (aéroportée disposant de nouveaux équipements mobiles), renforcée (montée en puissance) mais aussi extrêmement agile (disponibilité de plusieurs troupes d'élite ayant leur propre champ d'action : combat, destruction/création d'obstacles, communication,...).
La semaine dernière, l'Armée belge s'est entrainée au déploiement de sa capacité aéroportée en milieu urbain. L'exercice, baptisé Nemesis, comportait plusieurs opérations, en ce compris, des opérations de parachutage, d'assaut ou encore de libération d'otages. Des parachutistes français ont également participé à l'exercice afin de confirmer l'interopérabilité entre les deux unités parachutistes.
Du 20 au 22 avril, le 2ème Bataillon Commando belge, accompagné par des parachutistes français du 8ème Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine (RPIMA) se sont entrainés à de multiples opérations dans le cadre de l'exercice Nemesis.
L'exercice s'est étendu sur plusieurs zones en Belgique, avec des opérations que les Commandos pourraient rencontrer lors de futurs déploiements :
Le but de cet exercice était double :
La Composante Terre dispose de deux bataillons de para-commandos. Ces derniers représentent la principale force d'action déployable en urgence pour la Belgique. Ces deux unités légères privilégient les modes d'action aéroportés ou d'assaut via les A400M. Le caractère léger implique un mode d'action rapide au détriment de la mobilité de théâtre et de la durée de l'action. Avec les forces spéciales belges (Special Forces), ils composaient la Brigade Légère.
Toutefois, l'accroissement des menaces hybrides montre une augmentation des opérations des forces spéciales belges, qui deviennent de plus en plus complexes et demandent donc plus de moyens. Dès lors, la Défense belge a décidé de restructurer la manière de penser les opérations spéciales. Cette décision se confirme en 2018 lorsque la Brigade Légère est renommée en Special Operation Regiment (SOR) :
La Belgique détient, depuis cette restructuration, une capacité militaire de déploiement rapide (aéroportée disposant de nouveaux équipements mobiles), renforcée (montée en puissance) mais aussi extrêmement agile (disponibilité de plusieurs troupes d'élite ayant leur propre champ d'action : combat, destruction/création d'obstacles, communication,...).
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