La DGA serait actuellement en discussion avec la société américaine AeroVironment pour l'acquisition de 82 Switchblade et ce, seulement quelques temps après le lancement des projets Larinae et Colibri. L'Armée française semble donc résolue à développer mais aussi à acquérir une capacité à déployer des munitions rôdeuses sur le champ de bataille.
D'après Intelligence Online, la Direction générale de l'Armement (DGA) serait en train de discuter avec AeroVironment pour une commande de 82 munitions rôdeuses Switchblade. Si c'est le cas, ces négociations viennent juste après le lancement des projets de munitions rôdeuses Larinae et Colibri par la DGA (plus d'informations dans cet article). Aucune information officielle ne vient pour l'instant confirmer ces discussions mais il s'agit peut être d'une solution temporaire en attendant la concrétisation de ces deux projets. D'ailleurs, le Colibri semble justement se rapprocher du Swtichblade 300 :
Switchblade 300
Projet Colibri
Toutefois, bien que le projet Colibri cherche à développer un drone plus endurant mais avec une portée deux fois plus faible que le Switchblade 300, le coût du Colibri semble bien trop élevé. Il s'agit cependant d'un coût maximal à ne pas dépasser... mais il reste tout de même presque 4 fois plus cher (au maximum estimé) qu'un Switchblade 300. Cependant, ces deux projets et cet éventuel achat permettent de démontrer la volonté de l'Armée française à détenir des munitions rôdeuses et ce, probablement suite à leur utilisation très efficace par les Ukrainiens.
Ce n'est pas la première fois que la DGA se tourne vers Aerovironment : fin 2016, elle commandait des drones "Draaco" auprès d'AeroVironment pour une valeur totale de 5.639.135 euros. Cependant, l'annonce ne précisait pas le ou les modèles acquis... jusqu'à leur identification durant des travaux parlementaires en 2017. Ces derniers mentionnaient les capacités des Forces spéciales et notamment la possibilité de mettre en œuvre le "Puma Draaco" (soit le drone léger de reconnaissance Q-20 Puma). Le 15 décembre 2020, un second contrat, bien plus conséquent, de 25,3 millions d'euros a également été signé avec AeroVironment mais cette fois-ci, aucune information ne permet de donner le ou les modèles de drones acquis.
La DGA serait actuellement en discussion avec la société américaine AeroVironment pour l'acquisition de 82 Switchblade et ce, seulement quelques temps après le lancement des projets Larinae et Colibri. L'Armée française semble donc résolue à développer mais aussi à acquérir une capacité à déployer des munitions rôdeuses sur le champ de bataille.
D'après Intelligence Online, la Direction générale de l'Armement (DGA) serait en train de discuter avec AeroVironment pour une commande de 82 munitions rôdeuses Switchblade. Si c'est le cas, ces négociations viennent juste après le lancement des projets de munitions rôdeuses Larinae et Colibri par la DGA (plus d'informations dans cet article). Aucune information officielle ne vient pour l'instant confirmer ces discussions mais il s'agit peut être d'une solution temporaire en attendant la concrétisation de ces deux projets. D'ailleurs, le Colibri semble justement se rapprocher du Swtichblade 300 :
Switchblade 300
Projet Colibri
Toutefois, bien que le projet Colibri cherche à développer un drone plus endurant mais avec une portée deux fois plus faible que le Switchblade 300, le coût du Colibri semble bien trop élevé. Il s'agit cependant d'un coût maximal à ne pas dépasser... mais il reste tout de même presque 4 fois plus cher (au maximum estimé) qu'un Switchblade 300. Cependant, ces deux projets et cet éventuel achat permettent de démontrer la volonté de l'Armée française à détenir des munitions rôdeuses et ce, probablement suite à leur utilisation très efficace par les Ukrainiens.
Ce n'est pas la première fois que la DGA se tourne vers Aerovironment : fin 2016, elle commandait des drones "Draaco" auprès d'AeroVironment pour une valeur totale de 5.639.135 euros. Cependant, l'annonce ne précisait pas le ou les modèles acquis... jusqu'à leur identification durant des travaux parlementaires en 2017. Ces derniers mentionnaient les capacités des Forces spéciales et notamment la possibilité de mettre en œuvre le "Puma Draaco" (soit le drone léger de reconnaissance Q-20 Puma). Le 15 décembre 2020, un second contrat, bien plus conséquent, de 25,3 millions d'euros a également été signé avec AeroVironment mais cette fois-ci, aucune information ne permet de donner le ou les modèles de drones acquis.
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