Le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique a réussi samedi un second lancement de son microlanceur Qaem-100, déployant sur orbite basse un démonstrateur technologique destiné à tester un système de propulsion.
Le 14 septembre, le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI) a mis en œuvre pour la troisième fois son microlanceur Qaem 100 – après l’échec lors du vol d’inaugural de mars 2023 et un premier succès le 20 janvier dernier.
Le décollage est intervenu depuis la base militaire de Shahroud, située à environ 350 kilomètres à l’est de la capitale iranienne, Téhéran.
La mission a permis de placer sur orbite basse, à environ 550 km d’altitude, un petit satellite de 60 kg, baptisé Chamran 1.
Il s’agirait d’un démonstrateur destiné à « tester des technologies avancées pour les manœuvres orbitales et à évaluer les performances des sous-systèmes » de propulsion, de navigation et de contrôle d'attitude.
Cette mission marque le troisième succès d’un lanceur iranien cette l’année.
Depuis quelques années, malgré les sanctions occidentales, l'Iran intensifie ses missions orbitales, avec des lancements propres, civils et militaires, mais aussi l’embarquement de satellites sur des lanceurs étrangers – la Russie, le 29 février dernier.
Même Téhéran si affirme que ses activités spatiales sont conformes aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies, les pays occidentaux redoutent toujours que les technologies acquises dans le développement de lanceurs orbitaux puissent être adaptées pour la mise au point de missiles balistiques capables d'emporter des ogives nucléaires.
Le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique a réussi samedi un second lancement de son microlanceur Qaem-100, déployant sur orbite basse un démonstrateur technologique destiné à tester un système de propulsion.
Le 14 septembre, le Corps des Gardiens de la Révolution Islamique (CGRI) a mis en œuvre pour la troisième fois son microlanceur Qaem 100 – après l’échec lors du vol d’inaugural de mars 2023 et un premier succès le 20 janvier dernier.
Le décollage est intervenu depuis la base militaire de Shahroud, située à environ 350 kilomètres à l’est de la capitale iranienne, Téhéran.
La mission a permis de placer sur orbite basse, à environ 550 km d’altitude, un petit satellite de 60 kg, baptisé Chamran 1.
Il s’agirait d’un démonstrateur destiné à « tester des technologies avancées pour les manœuvres orbitales et à évaluer les performances des sous-systèmes » de propulsion, de navigation et de contrôle d'attitude.
Cette mission marque le troisième succès d’un lanceur iranien cette l’année.
Depuis quelques années, malgré les sanctions occidentales, l'Iran intensifie ses missions orbitales, avec des lancements propres, civils et militaires, mais aussi l’embarquement de satellites sur des lanceurs étrangers – la Russie, le 29 février dernier.
Même Téhéran si affirme que ses activités spatiales sont conformes aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies, les pays occidentaux redoutent toujours que les technologies acquises dans le développement de lanceurs orbitaux puissent être adaptées pour la mise au point de missiles balistiques capables d'emporter des ogives nucléaires.
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