Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 4 octobre, United Launch Alliance a réussi le deuxième vol de certification de son nouveau lanceur lourd, malgré le dysfonctionnement d’un des propulseurs d’appoint.
Le Vulcan Centaur, le nouveau lanceur lourd d’United Launch Alliance qui lui permet de ne plus dépendre de l’approvisionnement en moteurs russes, avait réussi le 8 janvier dernier son vol inaugural depuis la base militaire de Cape Canaveral, en Floride.
Neuf mois plus tard est intervenu le second vol de certification (Cert-2) exigé par la Défense américaine pour se voir confier des charges utiles stratégiques.
Le vol devait initialement embarquer la petite navette automatique Dream Chaser développée par Sierra Nevada pour desservir la Station spatiale internationale.
Mais, suite aux retards de Dream Chaser, c’est finalement un simulateur de masse de 1,5 tonne qui a été embarqué sur le lanceur.
Le Vulcan Centaur (dans sa version VC2S, c’est-à-dire standard avec deux propulseurs d’appoint à propergol solide), s’est envolé le 4 octobre à 11 h 25 UTC, toujours du pas de tir de la base SLC-41 de Cape Canaveral.
Environ 37 secondes plus tard, la tuyère de l'un des propulseurs d’appoint s’est détachée, provoquant une nuée de débris dans le panache d'échappement.
Mais le vol s’est tant bien que mal poursuivi, le propulseur continuant de fonctionner durant 90 secondes de manière légèrement asymétrique.
Le système de guidage embarqué du lanceur et ses moteurs principaux sont ensuite parvenus à corriger l’inclinaison anormale qui avait été prise, en rallongeant la phase propulsée durant environ 20 secondes.
La mission s’est ainsi terminée par une insertion sur orbite héliocentrique parfaite… et la FAA (Federal Aviation Administration), l’agence chargée de la réglementation des lancements spatiaux aux Etats-Unis, n’a pas jugé utile de faire ouvrir une enquête.
Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 4 octobre, United Launch Alliance a réussi le deuxième vol de certification de son nouveau lanceur lourd, malgré le dysfonctionnement d’un des propulseurs d’appoint.
Le Vulcan Centaur, le nouveau lanceur lourd d’United Launch Alliance qui lui permet de ne plus dépendre de l’approvisionnement en moteurs russes, avait réussi le 8 janvier dernier son vol inaugural depuis la base militaire de Cape Canaveral, en Floride.
Neuf mois plus tard est intervenu le second vol de certification (Cert-2) exigé par la Défense américaine pour se voir confier des charges utiles stratégiques.
Le vol devait initialement embarquer la petite navette automatique Dream Chaser développée par Sierra Nevada pour desservir la Station spatiale internationale.
Mais, suite aux retards de Dream Chaser, c’est finalement un simulateur de masse de 1,5 tonne qui a été embarqué sur le lanceur.
Le Vulcan Centaur (dans sa version VC2S, c’est-à-dire standard avec deux propulseurs d’appoint à propergol solide), s’est envolé le 4 octobre à 11 h 25 UTC, toujours du pas de tir de la base SLC-41 de Cape Canaveral.
Environ 37 secondes plus tard, la tuyère de l'un des propulseurs d’appoint s’est détachée, provoquant une nuée de débris dans le panache d'échappement.
Mais le vol s’est tant bien que mal poursuivi, le propulseur continuant de fonctionner durant 90 secondes de manière légèrement asymétrique.
Le système de guidage embarqué du lanceur et ses moteurs principaux sont ensuite parvenus à corriger l’inclinaison anormale qui avait été prise, en rallongeant la phase propulsée durant environ 20 secondes.
La mission s’est ainsi terminée par une insertion sur orbite héliocentrique parfaite… et la FAA (Federal Aviation Administration), l’agence chargée de la réglementation des lancements spatiaux aux Etats-Unis, n’a pas jugé utile de faire ouvrir une enquête.
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