Depuis le 17 mars, le Centre spatial de Toulouse accueille environ 170 participants issus de 13 pays à cet exercice unique en Europe, organisé par le Commandement de l’Espace.
Pour la cinquième année consécutive, l’exercice spatial militaire français AsterX organisé par Commandement de l’Espace (CDE) a débuté le 17 mars sur le Centre spatial de Toulouse (CST).
L’objectif est d’entraîner aux opérations spatiales militaires les unités du CDE, à tous les niveaux.
Jusqu’au 28 mars, cet événement unique en Europe se déroule en temps réel selon un scénario géopolitique fictif inspiré des menaces actuelles et futures, comprenant 18 événements spatiaux, sur toutes orbites, et 4 000 satellites simulés (dont près de 30 capteurs dédiés à l’appui spatial aux opérations pour faire face à dix menaces différentes).
AsterX 2025 compte environ 170 participants (joueurs, animation et support) : partenaires institutionnels (CNES, COE, ONERA), industriels (Agenium, Arianegroup, Crisotech, Exotrail, MBDA, Safran, DeliaStrat, Look Up Space), 24 joueurs étrangers issus de 12 nations partenaires (Allemagne, Australie, Canada, Corée du Sud, Espagne, Etats-Unis, Inde, Italie, Japon, Norvège, Royaume-Uni, Pologne) et 20 observateurs étrangers.
La nouveauté cette année est la création d’une force alliée autonome, avec laquelle il faut se coordonner pour lutter contre la force adverse.
Pour l’édition 2025, comme indiqué par le Ministère des Armées, l’exercice se divise en deux séquences.
« La première permet d’approfondir la réponse nationale à certaines menaces dans une phase de compétition.
La seconde vise à renforcer la coopération avec les alliés dans une phase de confrontation.
Le scénario, particulièrement orienté sur l’intégration multi-milieux et multi-champs (M2MC), s’appuie sur une dynamique forte de l’adversaire dans un environnement spatial simulé, contraignant les joueurs à se défendre et à trouver des moyens de riposte efficaces. »
Depuis le 17 mars, le Centre spatial de Toulouse accueille environ 170 participants issus de 13 pays à cet exercice unique en Europe, organisé par le Commandement de l’Espace.
Pour la cinquième année consécutive, l’exercice spatial militaire français AsterX organisé par Commandement de l’Espace (CDE) a débuté le 17 mars sur le Centre spatial de Toulouse (CST).
L’objectif est d’entraîner aux opérations spatiales militaires les unités du CDE, à tous les niveaux.
Jusqu’au 28 mars, cet événement unique en Europe se déroule en temps réel selon un scénario géopolitique fictif inspiré des menaces actuelles et futures, comprenant 18 événements spatiaux, sur toutes orbites, et 4 000 satellites simulés (dont près de 30 capteurs dédiés à l’appui spatial aux opérations pour faire face à dix menaces différentes).
AsterX 2025 compte environ 170 participants (joueurs, animation et support) : partenaires institutionnels (CNES, COE, ONERA), industriels (Agenium, Arianegroup, Crisotech, Exotrail, MBDA, Safran, DeliaStrat, Look Up Space), 24 joueurs étrangers issus de 12 nations partenaires (Allemagne, Australie, Canada, Corée du Sud, Espagne, Etats-Unis, Inde, Italie, Japon, Norvège, Royaume-Uni, Pologne) et 20 observateurs étrangers.
La nouveauté cette année est la création d’une force alliée autonome, avec laquelle il faut se coordonner pour lutter contre la force adverse.
Pour l’édition 2025, comme indiqué par le Ministère des Armées, l’exercice se divise en deux séquences.
« La première permet d’approfondir la réponse nationale à certaines menaces dans une phase de compétition.
La seconde vise à renforcer la coopération avec les alliés dans une phase de confrontation.
Le scénario, particulièrement orienté sur l’intégration multi-milieux et multi-champs (M2MC), s’appuie sur une dynamique forte de l’adversaire dans un environnement spatial simulé, contraignant les joueurs à se défendre et à trouver des moyens de riposte efficaces. »
Commentaires